Background: Observational studies have suggested that accelerated surgery is associated with improved outcomes in patients with a hip fracture. The HIP ATTACK trial assessed whether accelerated surgery could reduce mortality and major complications.
Methods:We randomised 2970 patients from 69 hospitals in 17 countries. Patients with a hip fracture that required surgery and were ≥45 years of age were eligible. Patients were randomly assigned to accelerated surgery (goal of surgery within 6 hours of diagnosis; 1487 patients) or standard care (1483 patients). The co-primary outcomes were 1.) mortality, and 2.) a composite of major complications (i.e., mortality and non-fatal myocardial infarction, stroke, venous thromboembolism, sepsis, pneumonia, life-threatening bleeding, and major bleeding) at 90 days after randomisation. Outcome adjudicators were masked to treatment allocation, and patients were analysed according to the intention-to-treat principle; ClinicalTrials.gov, NCT02027896.
Findings:The median time from hip fracture diagnosis to surgery was 6 hours (interquartile range [IQR] 4-9) in the accelerated-surgery group and 24 hours (IQR 10-42) in the standard-care group, p<0.0001. Death occurred in 140 patients (9%) assigned to accelerated surgery and 154 patients (10%) assigned to standard care; hazard ratio (HR) 0.91, 95% CI 0.72-1.14; absolute risk reduction (ARR) 1%, 95% CI -1-3%; p=0.40. The primary composite outcome occurred in 321 patients (22%) randomised to accelerated surgery and 331 patients (22%) randomised to standard care; HR 0.97, 95% CI 0.83-1.13; ARR 1%, 95% CI -2-3%; p=0.71.Interpretation: Among patients with a hip fracture, accelerated surgery did not significantly lower the risk of mortality or a composite of major complications compared to standard care.
RÉSUMÉCette étude avait pour but d’identifier les facteurs qui influent sur la capacité des personnes âgées à prendre en charge leur santé après une consultation au service des urgences (SU). Les questionnaires de l’enquête (n = 380) ont été remplis en SU par des personnes âgées et leurs aidants et visaient à évaluer leur perception de la compréhension de l’information qui leur était fournie. Des entrevues (n = 51) ont été réalisées avec un sous-échantillon de participants au cours des quatre semaines suivant leur consultation au SU et ont examiné les facteurs ayant une incidence sur l’autogestion des problèmes de santé. La perception de la compréhension de l’information reçue en SU (« oui, certainement ») était meilleure lors de la consultation au SU (91 %) que lors du suivi (71 %), lorsque 20 % des participants ne comprenaient pas ou n’étaient pas certains qu’ils avaient compris ce qui leur avait été communiqué en SU. Les patients ont rapporté que l’autogestion de leurs problèmes de santé était influencée par: la communication avec le personnel du SU, la compréhension des attentes suivant le congé de l’hôpital, l’état de santé, la disponibilité des aidants et divers facteurs externes. De plus, les soignants ont aussi mentionné l’appui aux soignants et la résistance des patients aux recommandations. L’utilisation de stratégies adaptées aux aînés en SU (p. ex. recommandations écrites, confirmation de la compréhension des recommandations), particulièrement celles liées à l’identification des personnes à risque et de celles nécessitant davantage de soutiens transitoires ou un meilleur accès ou intégration aux ressources disponibles dans la communauté amélioreraient l’autogestion des problèmes de santé suivant les consultations en SU.
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