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a. Une tentative pour décrire le jeu du squiggle a été réalisée. b. C’est un jeu qui n’a pas de règles. c. Il n’y a rien de nouveau dans ce jeu, et très peu de nouveauté dans son usage en psychothérapie. Ce qui est important, ce sont les possibilités d’utilisation du matériel que ce jeu peut produire, plus particulièrement dans les cas de rencontre unique que j’ai nommée « la consultation thérapeutique (diagnostique) ». d. Pour décrire ce jeu, il a été par conséquent nécessaire de donner un exemple, ce qui a demandé la description d’un cas. Mais deux cas ne sont jamais semblables, et un seul exemple pourrait induire en erreur. L’étudiant est donc invité à étudier ce cas en parallèle avec les autres cas publiés. e. Dans nombre de nos cas nous avons, pour ainsi dire, « fait mouche ». Ce sont ces cas (courants) qui fournissent le meilleur matériel pour ce type de travail en psychiatrie de l’enfant. Quelle que soit l’amélioration clinique par la suite, la rencontre produit naturellement une réponse favorable dans la famille et à l’école. f. Si le travail de la séance n’a pas de résultat clinique, alors on devra considérer le cas comme nécessitant une approche différente, comme une aide sociale ou une longue phase de psychothérapie. Le jeu du squiggle n’a pas à dominer la scène au-delà d’une rencontre, deux ou trois, tout au plus. On peut concevoir cela en termes de première séance re-répétée, ce qui nous permet de dire que le jeu du squiggle ou son équivalent est utile en tant que technique de première séance. g. Cela irait à l’encontre de ma volonté si le jeu du squiggle devait devenir standardisé ou trop clairement représenté. Le principe est que la psychothérapie se déroule au chevauchement de l’aire de jeu de l’enfant et de l’aire de jeu de l’adulte ou du thérapeute. Le jeu du squiggle est un exemple de la façon dont ce genre d’interaction peut être facilité.

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