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RESUMENEn este artículo, desde la visión de las ciencias sociales, se evalúa la aptitud científica de los planes de igualdad redactados en las universidades españolas para cumplir con las leyes de igualdad de mujeres y hombres, con especial atención al profesorado. La metodología empleada es el análisis cualitativo de los planes mediante la identificación de unidades de registro definidas en la revisión teórica del objeto de estudio. Como principales resultados se evidencia un bajo compromiso de la universidad española con la igualdad y, a la hora de elaborar el plan, carencias de conocimientos en ciencias sociales y teoría feminista, que son las disciplinas en cuyo núcleo se ha desarrollado los conceptos de género y la igualdad. PALABRAS CLAVE:Igualdad, estratificación social, brecha de género, feminismo, universidad. SUMARIO 1. Introducción. 2. El contexto de la igualdad en la sociedad española. 3. ¿Nuevas segregaciones verticales? De la reproducción patriarcal académica a la reproducción de élites familiares, de clase y religiosas. 4. La voluntad de desarrollar políticas de igualdad en el profesorado universitario. 5. Metodología de la investigación. 6. Discusión de los datos. 7. Reflexiones finales. Bibliografía. ABSTRACTIn this article, from the vision of the social sciences, there is evaluated the scientific aptitude of the plans of equality written in the Spanish universities to expire with the laws of equality of women and men, with special attention to the professorship. The used methodology is the qualitative analysis of the plans by means of the identification of units of record defined in the theoretical review of the object of study.As principal results there is demonstrated a low commitment of the Spanish university by the equality and, at the moment of elaborates the plan, lacks of knowledge in social sciences and theory feminist, that they are the disciplines in whose core has developed the concepts of kind and the equality.

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L’objectif de cet article est d’analyser comment les actes de sabotage liés au conflit de travail ont été gérés dans les deux principales compagnies de chemin de fer espagnoles (Norte et MZA), pendant la période comprise entre la grève ferroviaire française d’octobre 1910 et l’année 1912, date d’un grand conflit dans le secteur ferroviaire espagnol. Un autre objectif est de connaître les liens entre la gestion d’entreprise en France et en Espagne, puisque les compagnies de chemin de fer analysées ont vu leur capital déposé à Paris, d’où les décisions stratégiques sur les relations d’affaires et de travail ont été adoptées. La méthodologie de l’étude est fondée sur l’examen systématique de la littérature internationale existante sur le sabotage dans l’entreprise, en particulier dans le secteur ferroviaire. La source fondamentale de la recherche est les procès-verbaux des différents comités des compagnies de chemin de fer espagnoles, avec une attention particulière à leurs comités à Paris. Les documents des archives des deux sociétés sont également examinés. Les conclusions soulignent que les revendications des travailleurs et leurs méthodes de lutte, y compris le sabotage, se sont propagées de la France à l’Espagne. Dans les deux grandes compagnies de chemin de fer espagnoles, il y avait une gestion différente des conflits : l’une d’entre elles (MZA) a agi en étroite collaboration avec Paris. Les sabotages dans le réseau espagnol étaient moins nombreux que ceux enregistrés en France, car des stratégies préventives avaient été mises en œuvre. Quoi qu’il en soit, dans les deux pays, les travailleurs ont obtenu une bonne part des améliorations demandées.