Anne Duprat (2004, 2009 montre par exemple comment la fi ction, « âme du poème » est nouvellement conçue comme capacité de l'imagination de créer des mondes, que ce soit sous le signe de la merveille (Le Tasse) ou du vraisemblable (Heinsius). Voir aussi, sur la pensée de la fi ction dans les oeuvres, du moyen-âge au dix-septième siècle, Anne Duprat et Teresa Chevrolet, 2010.

Ce livre est le résultat des recherches que j'ai menées dans le cadre d'une thèse de doctorat ès lettres au sein de l'unité d'Histoire de l'art de l'université de Genève grâce au soutien du Fonds national suisse de la recherche scientifique et de la Fondation Ernst et Lucie Schmidheiny.Mes plus profonds remerciements vont à Philippe Borgeaud sans qui cette aventure n'aurait jamais vu le jour, dont la curiosité, la finesse d'esprit et l'immense érudition ont nourri mes réflexions autour du mythe et de la fable ainsi qu'à Frédéric Elsig qui m'a transmis le goût de l'enquête historique et de la rigueur méthodologique. Mes vifs remerciements vont également à Noémie Étienne pour son soutien à la fin de mon doctorat et pour m'avoir ouvert de nouveaux horizons après. Je souhaiterais également exprimer toute ma gratitude au président et aux membres du jury Lorenz Baumer, Frank Lestringant et Paola von Wyss-Giacosa pour avoir accepté de relire mon travail, d'en discuter au moment de la soutenance et d'avoir poursuivi ces échanges par la suite. Ma reconnaissance va aussi à Hélène Cazes qui, des salles de la McGill Library de Montréal à la réserve de Wendake, m'a fait découvrir sous un jour nouveau l'étude du livre et m'a fait l'honneur d'accepter d'écrire la préface de ce livre.Je tiens à remercier mes amis et collègues pour leur soutien, relectures, discussions et échanges :

Ce livre est le résultat des recherches que j'ai menées dans le cadre d'une thèse de doctorat ès lettres au sein de l'unité d'Histoire de l'art de l'université de Genève grâce au soutien du Fonds national suisse de la recherche scientifique et de la Fondation Ernst et Lucie Schmidheiny.Mes plus profonds remerciements vont à Philippe Borgeaud sans qui cette aventure n'aurait jamais vu le jour, dont la curiosité, la finesse d'esprit et l'immense érudition ont nourri mes réflexions autour du mythe et de la fable ainsi qu'à Frédéric Elsig qui m'a transmis le goût de l'enquête historique et de la rigueur méthodologique. Mes vifs remerciements vont également à Noémie Étienne pour son soutien à la fin de mon doctorat et pour m'avoir ouvert de nouveaux horizons après. Je souhaiterais également exprimer toute ma gratitude au président et aux membres du jury Lorenz Baumer, Frank Lestringant et Paola von Wyss-Giacosa pour avoir accepté de relire mon travail, d'en discuter au moment de la soutenance et d'avoir poursuivi ces échanges par la suite. Ma reconnaissance va aussi à Hélène Cazes qui, des salles de la McGill Library de Montréal à la réserve de Wendake, m'a fait découvrir sous un jour nouveau l'étude du livre et m'a fait l'honneur d'accepter d'écrire la préface de ce livre.Je tiens à remercier mes amis et collègues pour leur soutien, relectures, discussions et échanges :

Ce livre est le résultat des recherches que j'ai menées dans le cadre d'une thèse de doctorat ès lettres au sein de l'unité d'Histoire de l'art de l'université de Genève grâce au soutien du Fonds national suisse de la recherche scientifique et de la Fondation Ernst et Lucie Schmidheiny.Mes plus profonds remerciements vont à Philippe Borgeaud sans qui cette aventure n'aurait jamais vu le jour, dont la curiosité, la finesse d'esprit et l'immense érudition ont nourri mes réflexions autour du mythe et de la fable ainsi qu'à Frédéric Elsig qui m'a transmis le goût de l'enquête historique et de la rigueur méthodologique. Mes vifs remerciements vont également à Noémie Étienne pour son soutien à la fin de mon doctorat et pour m'avoir ouvert de nouveaux horizons après. Je souhaiterais également exprimer toute ma gratitude au président et aux membres du jury Lorenz Baumer, Frank Lestringant et Paola von Wyss-Giacosa pour avoir accepté de relire mon travail, d'en discuter au moment de la soutenance et d'avoir poursuivi ces échanges par la suite. Ma reconnaissance va aussi à Hélène Cazes qui, des salles de la McGill Library de Montréal à la réserve de Wendake, m'a fait découvrir sous un jour nouveau l'étude du livre et m'a fait l'honneur d'accepter d'écrire la préface de ce livre.Je tiens à remercier mes amis et collègues pour leur soutien, relectures, discussions et échanges :

Ce livre est le résultat des recherches que j'ai menées dans le cadre d'une thèse de doctorat ès lettres au sein de l'unité d'Histoire de l'art de l'université de Genève grâce au soutien du Fonds national suisse de la recherche scientifique et de la Fondation Ernst et Lucie Schmidheiny.Mes plus profonds remerciements vont à Philippe Borgeaud sans qui cette aventure n'aurait jamais vu le jour, dont la curiosité, la finesse d'esprit et l'immense érudition ont nourri mes réflexions autour du mythe et de la fable ainsi qu'à Frédéric Elsig qui m'a transmis le goût de l'enquête historique et de la rigueur méthodologique. Mes vifs remerciements vont également à Noémie Étienne pour son soutien à la fin de mon doctorat et pour m'avoir ouvert de nouveaux horizons après. Je souhaiterais également exprimer toute ma gratitude au président et aux membres du jury Lorenz Baumer, Frank Lestringant et Paola von Wyss-Giacosa pour avoir accepté de relire mon travail, d'en discuter au moment de la soutenance et d'avoir poursuivi ces échanges par la suite. Ma reconnaissance va aussi à Hélène Cazes qui, des salles de la McGill Library de Montréal à la réserve de Wendake, m'a fait découvrir sous un jour nouveau l'étude du livre et m'a fait l'honneur d'accepter d'écrire la préface de ce livre.Je tiens à remercier mes amis et collègues pour leur soutien, relectures, discussions et échanges :