Schwannomas are benign peripheral nerve sheath tumors originating from the Schwann cells. Most schwannomas in the head and neck region are solitary; however, multiple schwannomas affecting one or more nerves suggest a possible association with neurofibromatosis type 2 and schwannomatosis. Plexiform schwannoma is a rare variant of conventional schwannoma that is characterized by intraneural multinodular growth. This grow pattern has also been observed with other neural tumors which may make diagnosis more difficult. Herein, we report the case of a 28-year-old woman who presented a solitary plexiform schwannoma of great palatine nerve. In the present case, we focused on immunohistochemical analysis in daily practice for the differential diagnosis of schwannomas and their mainly morphological mimics, especially with plexiform neurofibroma, granular cell tumor and malignant peripheral nerve sheath tumors. We also discussed on SMARBC1/IN1 marker usefulness in combination with brain magnetic resonance imaging for the distinction of solitary schwannoma from neurofibromatosis type 2 or schwannomatosis.

No abstract

Article reçu le 22 septembre 1999 -Accepté pour publication le 2 mai 2000. RÉSUMÉLe but de ce travail était d'étudier l'intensité de la douleur sur 7 jours après une intervention de chirurgie buccale et d'identifier différents profils de douleur post-opératoire. Une étude prospective a permis à 132 sujets d'évaluer l'intensité douloureuse à l'aide d'une échelle visuelle analogique (EVA). Chaque sujet a reçu une prescription antalgique post-opératoire standardisée et systématique (paracétamol pour les extractions simples et association paracétamol/dextropropoxyphène ou codéine pour les extractions chirurgicales). Le profil algique moyen ainsi observé a été caractérisé par un pic hyperalgique durant les 24 premières heures (EVA=31,61 mm ± 2,18) et une diminution progressive sur les 6 jours suivants (EVA=8,27 mm ± 1,50 à J6). Une classification automatique en "cluster" a permis de distinguer 8 groupes de sujets caractérisés par des profils d'évolution d'intensité différents. La prescription standardisée utilisée en pratique courante permet d'avoir dans 81% des cas des douleurs nulles ou faibles.