Cancer stereotypes: A multidimensional scaling analysis

Abstract

The body of empirical research investigating the structure of stereotypes held by the physically healthy population toward individuals with medically related problems is remarkably small. This is particularly true for stereotypes related to cancer. This study adopted a multidimensional scaling (MDS) strategy in order to identify medically related stereotype dimensions for cancer and other illnesses. Sixty-eight subjects judged the similarity of cancer and eleven other medical conditions and rated each on 7-point attribute scales. A two-dimensional solution of respondents' similarity judgments was found and four distinct clusters of related conditions were perceived: (1) cancer and other illnesses with controllable risk factors, (2) conditions affecting motor function, (3) psychological/functional disorders and (4) communication/sensory functional disorders. Regression of mean attribute ratings onto the MDS disability coordinates labeled the two dimensions Normality and Physical Health. Implications of these dimensions for planning effective programs to change stereotypes and improve attitudes toward individuals with cancer and other medical conditions are discussed.

Causal dimensions of college students' perceptions of physical symptoms

“…Notably, this dimension has not been included in attribution models (e.g., Kelley, 1973;Weiner, 1986) and has not emerged from empirical analyses of causal explanations for achievement and interpersonal behavior (e.g., Meyer, 1980;Passer, 1977;Russell, 1982;Wimer et al, 1982). It has emerged, however, in multidimensional scaling analyses of medical conditions (Avis, 1984;Rounds and Zevon, 1993;Schmelkin et al, 1988). This supports F6rsterling's (1988) contention that the salient characteristics of attributions will be, to a certain extent, domain dependent.…”

“…Not only has it been used in the domain of physical illness (Rounds and Zevon, 1993;Schmelkin et al, 1988), disability (Schmelkin, 1982(Schmelkin, , 1985, pain (Wack and Turk, 1984), and cardiac disease (Avis, 1984), it has also been used to identify the dimensions along which people distinguish among different forms of psychopathology (Paquin and Jackson, 1981). We know of no research to date using MDS to examine the psychologically meaningful dimensions underlying causes of physical symptoms.…”

Stéréotypes et préjugés à l’égard de personnes atteintes de cancer : étude auprès d’une population générale et de professionnels de santé

“…Les recherches portent en fait sur la représentation du cancer (i.e. de la maladie) et non sur les personnes atteintes par cette maladie (Rounds & Zevon, 1993 ;Simon et al, 2011).…”

“…Les études de Berrenberg et al (2002) auprès des patients atteints d'un cancer ou du sida confirment que la familiarité avec les malades et les connaissances sur la maladie réduisent les préjugés à l'égard des malades. Les résultats obtenus par Rounds et Zevon (1993) montrent une différence dans les représentations du cancer chez les soignants et chez une population tout venant. Cette différence pouvant s'expliquer par des niveaux de connaissances différents.…”

“…• hypothèse 1 -d'après les travaux sur le contenu ambivalent des stéréotypes sociaux (e.g., Glick & Fiske, 2001 ;Yzerbyt, Kervyn, & Judd, 2008) et les travaux sur les stéréotypes associés aux maladies (e.g., Berrenberg, 1991 ;Berrenberg et al, 2002), nous supposons qu'il existe un stéréotype ambivalent des personnes atteintes d'un cancer comprenant des traits positifs et des traits négatifs ; • hypothèse 2 -ce stéréotype ambivalent des personnes atteintes d'un cancer s'accompagne d'une ambivalence au niveau des attitudes et préjugés à leur égard (Glick & Fiske, 2001) ; • hypothèse 3 -les préjugés à l'égard des malades atteints d'un cancer seraient principalement déterminés par la familiarité avec la maladie (e.g., Berrenberg et al, 2002 ;Holmes et al, 1999 ;Rounds & Zevon, 1993). Par conséquent, nous faisons l'hypothèse que les attitudes négatives envers les malades atteints d'un cancer seront moins importantes parmi les professionnels de santé qu'au sein de la population générale, moins fréquemment en contact avec des malades atteints de cancer et dont le niveau de connaissance lié à la maladie est plus faible.…”