“…Dans cette même visée, les études sur la communication dans le secteur vitivinicole ont prouvé que les membres de la société viti-vinicole ont encore peu conscience des caractéristiques, usages et bénéfices de la digitalisation et la présence sur le web ou les réseaux sociaux. Certaines de ces caractéristiques ont été analysées par Badulescu (2015) dans un travail d'ordre sémiotique, ou plutôt macrosémiotique où « le visible (la bouteille, le vin, l'étiquette) se mêle aux autres modes du sensible pour construire "l'univers sémiotique du vin" » (Badulescu, 2015, p. 87). Elle remarque que l'approche du vin en marketing envisage trois dimensions, à savoir l'esthésique, l'esthétique et l'éthique (Badulescu, 2015, p. 84).…”