Latex Medical Gloves: Time for a Reappraisal

Abstract

Many hospitals have implemented policies to restrict or ban the use of devices made of natural rubber latex (NRL) in healthcare as precautionary measures against the perceived risk of NRL allergy. Changes in glove technology, progress in measuring the specific allergenic potential of gloves and a dramatic decrease in the prevalence of NRL allergies after interventions and education prompted us to revisit the basis for justifiable glove selection policies. The published Anglophone literature from 1990 to 2010 was reviewed for original articles and reviews dealing with the barrier and performance properties of NRL and synthetic gloves and the role of glove powder. The review shows that NRL medical gloves, when compared with synthetic gloves, tend to be stronger, more flexible and better accepted by clinicians. The introduction of powder-free gloves has been associated with reductions in protein content and associated allergies. Recently, new methods to quantify clinically relevant NRL allergens have enabled the identification of gloves with low allergenic potential. The use of low-protein, low-allergenic, powder-free gloves is associated with a significant decrease in the prevalence of type I allergic reactions to NRL among healthcare workers. Given the excellent barrier properties and operating characteristics, dramatically reduced incidences of allergic reactions, availability of specific tests for selection of low-allergen gloves, competitive costs and low environmental impact, the use of NRL gloves within the hospital environment warrants reappraisal.

Allergènes en chirurgie bucco-dentaire

“…Sa composition chimique varie en fonction de divers paramètres (géographiques, saisonniers, climatiques) [1][2][3][4]. Il est composé de 65 % d'eau et de 33 % de polyisoprènes (caoutchouc) en suspension dans une solution aqueuse mais visqueuse, constituée de protéines, de lipides, de sels inorganiques, de nucléotides et de cofacteurs [2,5,6].…”

“…Avant 1980, ce type d'allergie était anecdotique. Dans les années 90, avec la généralisation du port des gants d'examen liée au développement de l'infection à VIH, on a observé une augmentation de la sensibilisation [1,3,7]. Depuis le décret 97-454 du 30 avril 1997, l'allergie au latex est reconnue en France comme maladie professionnelle au titre du tableau 95 [8].…”

“…Selon des études récentes, la prévalence de la sensibilisation au latex varie de 1,4 à 1,65 % dans la population générale alors que chez les professionnels de la santé, elle est de 4,1 à 5 % [10]. Ainsi, les professionnels de la santé et les techniciens de surface constituent la troisième catégorie de patients à haut risque après les employés des manufactures d'objets en latex et les patients ayant de nombreux antécé-dents chirurgicaux (patients ayant un syndrome malformatif, polytraumatisés) ou de fréquents sondages vésicaux et les enfants atteints d'une spina bifida [3,5,[11][12][13][14]. Au Maroc, une étude transversale portant sur 2831 professionnels de la santé a montré que 7,1 % présentaient une allergie au latex [11].…”

“…Enfin, les manifestations générales s'expriment par un urticaire généralisé, une respiration sifflante ou un choc anaphylactique [3,4,17].…”

“…De nombreux hôpitaux et établissements de soins de santé ont décidé de restreindre l'utilisation ou d'interdire totalement tous les latex en caoutchouc naturel (NRL) ce qui a réduit de manière significative le taux d'allergies liées au latex [3].…”