2011
DOI: 10.4314/ijbcs.v4i4.62971
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Les causes de la dégradation du lac Ahémé et ses chenaux

Abstract: Depuis plus d'un demi-siècle, les populations riveraines du lac Ahémé ont géré à leur manière cet écosystème par des modes de régulation qui garantissent peu la « santé » écologique de ce plan d'eau. Le résultat aujourd'hui, est la pollution des eaux, le comblement du lac, la disparition des forêts galeries, la disparition de certaines espèces halieutiques, la baisse des rendements, avec pour conséquence la dégradation des pêcheries. En effet, les conditions hydrologiques et morphologiques du bassin du lac Ahé… Show more

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
2
1
1
1

Citation Types

0
7
0
2

Year Published

2020
2020
2024
2024

Publication Types

Select...
7

Relationship

0
7

Authors

Journals

citations
Cited by 10 publications
(12 citation statements)
references
References 1 publication
0
7
0
2
Order By: Relevance
“…Par contre sur le Lac Mai-Ndombe au Congo, les trous à poissons, fréquemment utilisés par les pêcheurs artisans, constituent la technique de pêche destructive des ressources halieutiques (Luhusu et al, 2013). L'emploi des pratiques destructives de pêche (pratique de la pêche à la main et l'utilisation des filets éperviers et maillants) sur les ressources halieutiques des lacs est un problème reconnu puisque les prélèvements sur la ressource ont dépassé les capacités de renouvellement des stocks, ce qui est synonyme de surexploitation qui a conduit à une réduction de la biodiversité voire à l'extinction des ressources halieutiques (Badahoui et al, 2010 ;Dialla et al, 2016). La dégradation des ressources halieutiques au niveau des lacs est aussi causée par la pêche à la main (Machado et al, 2019).…”
Section: Pratiques Destructives De Pêche Et Problème De Baisse Des Ressources Halieutiquesunclassified
“…Par contre sur le Lac Mai-Ndombe au Congo, les trous à poissons, fréquemment utilisés par les pêcheurs artisans, constituent la technique de pêche destructive des ressources halieutiques (Luhusu et al, 2013). L'emploi des pratiques destructives de pêche (pratique de la pêche à la main et l'utilisation des filets éperviers et maillants) sur les ressources halieutiques des lacs est un problème reconnu puisque les prélèvements sur la ressource ont dépassé les capacités de renouvellement des stocks, ce qui est synonyme de surexploitation qui a conduit à une réduction de la biodiversité voire à l'extinction des ressources halieutiques (Badahoui et al, 2010 ;Dialla et al, 2016). La dégradation des ressources halieutiques au niveau des lacs est aussi causée par la pêche à la main (Machado et al, 2019).…”
Section: Pratiques Destructives De Pêche Et Problème De Baisse Des Ressources Halieutiquesunclassified
“…constantly through narrow canal receives inputs or flows out depending on climatic circumstances). It receives fresh water from the Couffo River in the north, and connects with the Atlantic Ocean (saline water) and the Mono River (fresh water) in the south via an un‐named coastal lagoon (Badahoui et al, 2010).…”
Section: Methodsmentioning
confidence: 99%
“…Unfortunately, this relatively large coastal lake is subject to pollution, leading to ecological quality degradation (MEHU, 2002). For more than a century of exploitation, the modes of regulation and management of the lake resource by the local population have done little to maintain the ecological health of the system (Amoussou, 2010; Badahoui et al, 2010). In view of the importance of this ecosystem, both for the local population and internationally (part of Ramsar site 1017), knowledge of the macroinvertebrate assemblages of this lake is required to allow the implementation of plans for sustainable management of the lake.…”
Section: Introductionmentioning
confidence: 99%
“…Only one specimen was observed and that was empty shells, not a living specimen. The species is known from fossils only according to MolluscaBase (2019c), but some authors reported extant specimens (Smith et al 2009;Badahoui et al 2010). The species requires taxonomical study (Seddon et al 2011).…”
Section: Gabbiella Tchadiensis Mandahl-barth 1968mentioning
confidence: 99%