“…Le cohabitat mérite aussi d'être soutenu pour des publics spécifiques auprès desquels il y a une demande. On pense aux personnes âgées et aux familles monoparentales, qui peuvent y voir la possibilité d'accéder à une plus grande surface d'espaces de vie et d'être inséré dans un réseau social local, mais également à des ménages plutôt intellectuels et aisés pour qui il représente une façon de concrétiser, à Bruxelles, un mode d'habiter valorisé[Lenel, Demonty et Schaut, 2020]. un changement de paradigme dans la politique d'attractivité résidentiell... Documenter les comportements résidentiels des classes moyennes suppose évidemment de donner de ces dernières une définition opérationnelle.Cela ne va guère de soi.…”