MicroRNA-21 promotes Th17 differentiation and mediates experimental autoimmune encephalomyelitis

Murugaiyan, Gopal; Cunha, André Pires da; Ajay, Amrendra K.; Joller, Nicole; Garo, Lucien P.; Kumaradevan, Sowmiya; Yosef, Nir; Vaidya, Vishal S.; Weiner, Howard L.

doi:10.1172/jci74347

Cited by 212 publications

(195 citation statements)

References 72 publications

Supporting

Mentioning

186

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…Current studies demonstrate that miR21 [85] , miR155 [63] , miR301a [86] , miR326 [87] , miR1792 cluster [88] , and miR132/212 cluster [89] act as positive regulators of Th17 differentiation. For example, miR155 enhances the development of inflammatory T cells (Th1 and Th17 cells), and facilitates Th17 cell formation through cytokines produced by DCs [63] .…”

Section: Mirnas and Th17 Cell Differentiationmentioning

confidence: 98%

miRNAs as new molecular insights into inflammatory bowel disease: Crucial regulators in autoimmunity and inflammation

Zhang

2016

WJG

View full text Add to dashboard Cite

Inflammatory bowel disease (IBD) is characterized by chronic relapsing inflammatory disorders of the gastrointestinal tract, and includes two major phenotypes: ulcerative colitis and Crohn's disease. The pathogenesis of IBD is not fully understood as of yet. It is believed that IBD results from complicated interactions between environmental factors, genetic predisposition, and immune disorders. miRNAs are a class of small non-coding RNAs that can regulate gene expression by targeting the 3′-untranslated region of specific mRNAs for degradation or translational inhibition. miRNAs are considered to play crucial regulatory roles in many biologic processes, such as immune cellular differentiation, proliferation, and apoptosis, and maintenance of immune homeostasis. Recently, aberrant expression of miRNAs was revealed to play an important role in autoimmune diseases, including IBD. In this review, we discuss the current understanding of how miRNAs regulate autoimmunity and inflammation by affecting the differentiation, maturation, and function of various immune cells. In particular, we focus on describing specific miRNA expression profiles in tissues and peripheral blood that may be associated with the pathogenesis of IBD. In addition, we summarize the opportunities for utilizing miRNAs as new biomarkers and as potential therapeutic targets in IBD.

show abstract

Section: Mirnas and Th17 Cell Differentiationmentioning

confidence: 98%

miRNAs as new molecular insights into inflammatory bowel disease: Crucial regulators in autoimmunity and inflammation

Zhang

2016

WJG

View full text Add to dashboard Cite

show abstract

“…miR-21 is known to be specifically expressed in the Treg subset (13) and promotes Treg differentiation by positively regulating expression of FoxP3 itself, the Treg-specific transcription factor. miR-21 also has the potential to positively regulate Treg activity by directly targeting a proposed negative regulator of TGF-β signaling, SMAD7 (14,15). In contrast, other studies have suggested that miR-21 in fact restrains Treg activity through intrinsic T-reg-specific mechanisms and limiting FOXP3 activity (16) or indirectly by promoting the activity of Th17 cells, whose pro-inflammatory nature counters Treg function (14).…”

mentioning

confidence: 99%

“…miR-21 also has the potential to positively regulate Treg activity by directly targeting a proposed negative regulator of TGF-β signaling, SMAD7 (14,15). In contrast, other studies have suggested that miR-21 in fact restrains Treg activity through intrinsic T-reg-specific mechanisms and limiting FOXP3 activity (16) or indirectly by promoting the activity of Th17 cells, whose pro-inflammatory nature counters Treg function (14). With this in mind, Li and colleagues found that the decrease in TGF-β and FoxP3 expression in PBMC from diseased patients was consistent with a decrease in mRNA expression of the miR-21 target SMAD7.…”

mentioning

confidence: 99%

miR-21 alters circulating Treg function in vascular disease—hope for restoring immunoregulatory responses in atherosclerosis?

Hackett

Sheedy

2017

Ann. Transl. Med.

View full text Add to dashboard Cite

“…L'expression de nombreux miARN, qui est altérée dans le SNC de patients atteints de SEP, l'est également dans le modèle murin d'EAE (miR-21 [15,36], miR-326 [11,15], miR-155 [12,15] Nous avons partagé jusqu'ici avec le lecteur une vision simplifiée de l'implication des lymphocytes T autoréactifs dans l'EAE. Le développement de l'EAE repose effectivement sur la différenciation de cellules Th17 et Th1 : les souris déficientes pour Rort (retinoic acid receptor-related orphan receptor gamma t, pour les cellules Th17) ou pour T-bet (T-box transcription factor, pour les Th1) sont résistantes à l'EAE [40,41].…”

Section: Rôle Des Miarn Intracellulaires Dans La Sep Et L'eaeunclassified

“…Les miARN agissent en fait fréquem-ment sur la différenciation et/ou l'activation de ces cellules. Ainsi, lors de l'induction de l'EAE, la dérégulation de certains miARN (miR301a [39] [36] et Ets-1 [11]), favorise l'émergence des phénotypes Th17 ou Th1 (Figure 3). Ainsi, altérer l'expression de ces miARN au cours de l'EAE provoque une augmentation du nombre de lymphocytes T pro-inflammatoires de types Th17 et Th1, ce qui accentue sa sévérité.…”

Section: Rôle Des Miarn Intracellulaires Dans La Sep Et L'eaeunclassified

Les microARN

Jagot

Davoust

2017

Med Sci (Paris)

View full text Add to dashboard Cite

> La sclérose en plaques (SEP) est une maladie auto-immune inflammatoire et démyélinisante dont l'étiologie reste mal connue. L'étude des microARN (miARN) apporte un éclairage nouveau sur les mécanismes physiopathologiques mis en jeu dans la SEP. Une signature miARN spéci-fique est observée tant au niveau cellulaire que dans les compartiments extracellulaires, chez les patients atteints de SEP, et dans le modèle de SEP développé chez l'animal, l'encéphalomyé-lite auto-immune expérimentale (EAE). Dans ce modèle, une association étroite a pu être mise en évidence entre la dérégulation des miARN et une modulation de la réponse immunitaire à l'origine d'un phénotype neuro-inflammatoire. La détec-tion quantitative des miARN circulants a-t-elle une valeur diagnostique ? Les miARN serontils les nouveaux biomarqueurs de la maladie ? C'est à ces questions que cette revue tente de répondre. < rait l'inflammation. De nombreuses études suggèrent en effet que la maturation et la fonction des lymphocytes Treg périphériques sont diminuées au cours de la SEP [2]. Il est probable que les lymphocytes B jouent également un rôle important dans la SEP, comme en témoigne la présence de bandes oligoclonales d'anticorps dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) détectées par iso-électrofocalisation 1 chez plus de 95 % des patients atteints de SEP [3]. Les lymphocytes B infiltrent le SNC dès l'apparition d'un syndrome cliniquement isolé (symptômes présentés par les patients ayant leur première poussée inflammatoire de type SEP -myélite, névrite optique, etc.-, que celle-ci donne lieu à un diagnostic SEP -nécessitant une deuxième poussée de même type -ou non) [3]. Les cellules résidentes du SNC, dont les cellules microgliales (les macrophages résidents du SNC), participent également aux processus inflammatoires en lien avec la progression des lésions du tissu nerveux. Du point de vue clinique, la SEP est associée à des perturbations motrices, sensitives et cognitives qui aboutissent à un handicap plus ou moins sévère selon les profils évolutifs. Classiquement, on distingue deux formes de la maladie : celle où alternent des périodes de rechutes et de rémissions (forme rémittente ou RRMS pour relapsing remitting multiple sclerosis) et celle dite progressive (PPMS pour primary progressive multiple sclerosis), qui suit parfois une forme rémittente (SPMS pour secondary progressive multiple sclerosis), et au cours de laquelle les patients acquièrent progressivement un handicap irréversible sans phase de rémission. Malgré des différences phénoty-piques cliniques, la période qui s'écoule avant l'atteinte de certains niveaux d'incapacité et l'âge auquel ces niveaux sont atteints, sont similaires pour les patients présentant une PPMS ou une SPMS. En 1 La présence d'immunoglobulines d'isotype G (IgG) dans le LCR, due à un excès de production d'IgG dans le système nerveux central, peut être révélée par la technique d'iso-électrofocalisation.

show abstract

MicroRNA-21 promotes Th17 differentiation and mediates experimental autoimmune encephalomyelitis

Cited by 212 publications

References 72 publications

miRNAs as new molecular insights into inflammatory bowel disease: Crucial regulators in autoimmunity and inflammation

miRNAs as new molecular insights into inflammatory bowel disease: Crucial regulators in autoimmunity and inflammation

miR-21 alters circulating Treg function in vascular disease—hope for restoring immunoregulatory responses in atherosclerosis?

Les microARN

Contact Info

Product

Resources

About