Pancreatic Stem Cells Remain Unresolved

Jiang, Fuming; Morahan, Grant

doi:10.1089/scd.2014.0214

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“…3, middle). Similar complex periods can also be observed in pancreatic stem cell (PSC) differentiation (Byrnes et al, 2018;Gu et al, 2002;Jiang and Morahan, 2014;Murtaugh, 2007;Murtaugh and Kopinke, 2008;Romer and Sussel, 2015) and neural stem cell (NSC) differentiation trajectories (Artegiani et al, 2017;Homem et al, 2015;Obernier and Alvarez-Buylla, 2019;Rosenberg et al, 2018;Rowitch and Kriegstein, 2010;Zuchero and Barres, 2015) (Fig. 3, middle).…”

Section: A Periodic Table Of Cell Typessupporting

confidence: 57%

A periodic table of cell types

Xia¹,

Yanai

2019

Development

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Single cell biology is currently revolutionizing developmental and evolutionary biology, revealing new cell types and states in an impressive range of biological systems. With the accumulation of data, however, the field is grappling with a central unanswered question: what exactly is a cell type? This question is further complicated by the inherently dynamic nature of developmental processes. In this Hypothesis article, we propose that a 'periodic table of cell types' can be used as a framework for distinguishing cell types from cell states, in which the periods and groups correspond to developmental trajectories and stages along differentiation, respectively. The different states of the same cell type are further analogous to 'isotopes'. We also highlight how the concept of a periodic table of cell types could be useful for predicting new cell types and states, and for recognizing relationships between cell types throughout development and evolution.

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Section: A Periodic Table Of Cell Typessupporting

confidence: 57%

A periodic table of cell types

Xia¹,

Yanai

2019

Development

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“…In addition, pancreatic exocrine tissue and other pancreatic endocrine cell types have also been shown to transdifferentiate to INS+ cells [43,[45][46][47]. There is no clear consensus on what these progenitors of INS+ cells represent; however, they have been broadly termed as pancreatic stem cells, with no defined criteria for expression of specific markers, lineage of origin or location within the pancreas [48]. However, their differentiation efficiency in generating insulin-secreting cells in vitro is yet to be fully gauged, hence, their potential of serving as a cell therapy candidate remains unexplored.…”

Section: Generation Of Pancreatic Progenitors and Beta Cells From Hummentioning

confidence: 99%

Stem Cell Therapy for Diabetes: Beta Cells versus Pancreatic Progenitors

Abdelalim¹,

Memon²

2020

Preprint

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Diabetes mellitus (DM) is one of the most prevalent metabolic disorders. In order to replace the function of the destroyed pancreatic beta cells in diabetes, islet transplantation is the widely practiced treatment; however, it has several limitations. As an alternative approach, human pluripotent stem cells (hPSCs) can provide an unlimited source of pancreatic cells that have the ability to secrete insulin in response to high blood glucose level. However, determination of the appropriate pancreatic lineage candidate for the purpose of cell therapy for treatment of diabetes is still debated upon. While hPSC-derived beta cells are perceived as the ultimate candidate, the efficiency needs further improvement in order to obtain a sufficient number of glucose responsive β-cells for transplantation therapy. On the other hand, hPSC-derived pancreatic progenitors can be efficiently generated in vitro and can further mature into glucose responsive beta cells in vivo after transplantation. Herein, we discuss the advantages and predicted challenges associated with the use of each of the two pancreatic lineage products for diabetes cell therapy. Furthermore, we address co-generation of functionally relevant islet cell subpopulations and structural properties contributing to glucose responsiveness of beta cells, as well as the available encapsulation technology for these cells.

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“…Le pancréas est étudié depuis longtemps pour sa capacité à héberger des cellules souches ou des progéni-teurs facultatifs [28], c'est-à-dire dont la capacité à proliférer et à reconstituer l'un des compartiments cellulaires du pancréas (endocrine ou exocrine) dépend de stimulus extérieurs (comme une chirurgie d'exérèse, une inflammation, des facteurs de croissance). L'enjeu est d'identifier un réservoir de cellules exploitables pour des stratégies de différenciation en cellules β, soit localement, soit après manipulation in vitro [29].…”

Section: Progéniteurs Facultatifs Dans Le Pancréas Adulteunclassified

La thérapie cellulaire du diabète

Lysy

2016

Med Sci (Paris)

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> La poss ibilité de remplacer des cellules β déficientes par de nouvelles cellules insulinosécrétantes chez le patient diabétique est démontrée par le succès de la transplantation d'îlots pancréatiques. Le manque de donneurs cadavériques a stimulé la recherche de sources alternatives de cellules β dont le palmarès est dominé par les cellules souches pluripotentes humaines pouvant acquérir des caractéristiques quasiment identiques à celles des cellules β et rétablir l'équilibre glycémique de souris diabétiques. Néanmoins, elles comportent un risque carcinogénique actuellement inévitable. Le pancréas adulte héberge des compartiments cellulaires aux capacités de transdifférenciation établies pouvant être exploitées pharmacologiquement in situ ou via des phases d'expansion en culture. Cette revue s'intéresse aux nouveaux développements concernant la thérapie cellulaire du diabète. < vie permettent de prévenir 60 % des DT2, il n'y a, à ce jour, aucune straté-gie de prévention du DT1 et les traitements actuels ne permettent pas d'atteindre les objectifs thérapeutiques tels que révélés par le dosage de l'hémoglobine glyquée (ou glycatée) (HbA1 C ) 2 [1]. Le DT1 est donc la cible des stratégies développées pour le remplacement des cellules β qui ont vu le jour en 1966 à Minneapolis avec la première greffe de pancréas humain combinée à une greffe de rein [2]. Après plus de 47 000 greffes d'organe (pancréas associé au rein ou pancréas seul), la technique a été nettement raffinée. Elle permet actuellement une survie des greffons d'environ 85 % à 1 an post-chirurgie [3], ce qui en fait une option thérapeutique pour des patients diabétiques en insuffisance rénale [4]. Cette technique n'est malgré tout pas généralisable étant donnés les degrés de morbidité et de mortalité associés au geste chirurgical (75 % de survie à 10 ans), la nécessité d'une immunosuppression à vie, et le manque de donneurs d'organe. Ces difficultés ont stimulé la recherche pour une thérapie cellulaire du diabète fondée sur des sources cellulaires variées comme les îlots pancréatiques 3 , les cellules souches pluripotentes ou les cellules somatiques adultes du pancréas. Transplantation des îlots pancréatiquesLa transplantation des îlots de Langerhans du pancréas humain s'est développée dans les années 1970, comme une alternative moins invasive à la greffe de pancréas entier. Cette technique a bénéficié de la 2 L'hémoglobine glyquée est une forme d'hémoglobine ayant subi une glycation, c'est-à-dire une addition non enzymatique de sucre sur la protéine. C'est un marqueur de la glycémie. 3 Les îlots pancréatiques, ou îlots de Langerhans sont formés de cellules endocrines capables de synthéti-ser l'insuline, le glucagon, la somatostatine et le polypeptide pancréatique.

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Pancreatic Stem Cells Remain Unresolved

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A periodic table of cell types

A periodic table of cell types

Stem Cell Therapy for Diabetes: Beta Cells versus Pancreatic Progenitors

La thérapie cellulaire du diabète

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