Tumeur de Buschke-Löwenstein

Gillard, P.; Vanhooteghem, Olivier; Richert, Bertrand; Brassinne, Michel De La

doi:10.1016/s0151-9638(05)79210-3

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“…Immunosuppression can promote the tumour's growth, so every patient with this condition must be checked for HIV, hepatitis virus and syphilis. The patient examined in this work wasn't immunosuppressed Some authors consider giant genital warts (GGW) as precancerous lesions [11] and in any case a correlation between these lesions and verrucous carcinoma is shown, thus making an early radical treatment advisable.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

A Case Report of Giant Genital Warts

et al. 2014

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Abstract. Giant genital warts (GGW) represent a rare form of sexually transmitted disease caused by the human papillomavirus, arising more frequently in the vulvar and perianal regions as large exophytic cauliflower-like mass. Estimated rate of recurrence is 60 to 66%, while malignant transformation is possible and it has been reported in 30 to 56% of cases. A 45-years-old woman was admitted to our Structure of Plastic and Reconstructive Surgery, Siena, Italy with an extensive cauliflower-like masses diffused on vulvar and perianal region. The patient was treated in general anaesthesia, with a wide en bloc excision up to free clinical edges and immediate reconstruction of the vulvar continuity. Buschke Lowenstein tumour or giant genital warts is a sporadic tumour with an elevate local recurrence rate. In some cases, surgery can be very difficult and it must be associated to other strategies. An accurate follow-up is always necessary.

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Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

A Case Report of Giant Genital Warts

et al. 2014

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“…Son incidence annuelle semble être de 0,1% parmi la population adulte active sexuellement [5, 6]. Elle survient à tout âge après la puberté et prédomine entre les 4e et 6e décennies [7].…”

Section: Discussionunclassified

“…La localisation anorectale reste moins fréquente mais elle n'est pas rare. Cette localisation est retrouvée dans les deux sexes avec une prédominance masculine [3, 5, 13] comme c’était le cas dans notre série. Chez l'homme, la TBL se localise dans 81 à 94% des cas au pénis et dans 10 à 17% des cas à la région ano-rectale.…”

Section: Discussionunclassified

“…La tumeur est toujours précédée de lésions condylomateuses grisâtres ou rosées, évoluant progressivement pour prendre un aspect papillomateux, irrégulier, en chou-fleur [3, 5]. Elle évolue en surface et en profondeur, ce qui marque sa différence des condylomes acuminés banaux.…”

Section: Discussionunclassified

“…Elle se distingue des condylomes acuminés par sa prolifération plus marquée et une pénétration profonde dans les tissus sous-jacents qui peuvent alors être refoulés, et d'un carcinome épidermoïde par l'absence d'invasion histologique et de métastase [3]. Elle est caractérisée par son potentiel dégénératif et son caractère récidivant après traitement [4, 5]. Nous rapportons à ce propos notre expérience à travers une série de 16 observations, en passant en revue les données de la littérature.…”

Section: Introductionunclassified

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La tumeur de Buschke-Lowenstein anorectale : à propos de 16 cas et revue de la littérature

Njoumi¹,

Tarchouli²,

Ratbi³

et al. 2013

Pan Afr Med J

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La tumeur de Buschke-Lowenstein est une affection rare appartenant au groupe des carcinomes verruqueux. Elle survient le plus souvent chez des sujets pubères en pleine activité sexuelle. Une infection par human papillomavirus (HPV) 6 et 11 est volontiers associée à ces tumeurs. Elle se caractérise par la fréquence des récidives et le risque de transformation maligne. Son traitement est difficile même si l'histologie confirme la bénignité. A partir de 16 observations de TBL et d'une revue de la littérature, les auteurs soulignent les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs de cette affection.

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