“…À l'automne, l'un produit tout à foison, un autre reçoit le soleil d'hiver ; au printemps, celui-ci en premier fait surgir les roses de terre (primus rosas humo exuit) ; dans celui-là, sources et bois portent la fraîcheur sous les rayons de l'été ( Lettres I, 48). II, 2,[16][17][18][19], le cycle des saisons et des travaux champêtres l'emportent. On remarque que les distances entre la résidence et la nature sauvage sont très courtes, au point que les deux espaces s'envahissent l'un l'autre : ainsi le bois coupé dans les forêts, au-dessus des thermes, semble pouvoir trouver un chemin direct dans les praefurnia des bains (Lettres II, 2, 4) :…”