A Massive Outbreak in Milwaukee of Cryptosporidium Infection Transmitted through the Public Water Supply

Kenzie, William R. Mac; Hoxie, N J; Proctor, Mary E.; Gradus, M. Stephen; Blair, Kathleen; Peterson, Dan; Kazmierczak, James J.; Addiss, David G.; Fox, Kim R.; Rose, Joan B.; Davis, Jeffrey P.

doi:10.1056/nejm199407213310304

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“…nated water supplies most notably in 1993 when a waterborne outbreak in Milwaukee, Wisconsin infected over 400,000 people (Mac Kenzie, 1994). Most human infections are thought to be caused by C. parvum or C. hominis although other Cryptosporidium species are reported to cause human infection, particularly in immunocompromised individuals (Flynn, 2003;Caccio, 2002).…”

mentioning

confidence: 99%

Drug treatment and novel drug target againstCryptosporidium

Gargala

2008

Parasite

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Summary :Cryptosporidiosis emergence triggered the screening of many compounds for potential anti-cryptosporidial activity in which the majority were ineffective. The outbreak of cryptosporidiosis which occurred in Milwaukee in 1993 was not only the first significant emergence of Cryptosporidium spp. as a major human pathogen but also a huge waterborne outbreak thickening thousands of people from a major city in North America. Since then, outbreaks of cryptosporidiosis are regularly occurring throughout the world. New drugs against this parasite became consequently urgently needed. Among the most commonly used treatments against cryptosporidiosis are paromomycin, and azithromycin, which are partially effective. Nitazoxanide (NTZ)'s effectiveness was demonstrated in vitro, and in vivo using several animal models and finally in clinical trials. It significantly shortened the duration of diarrhea and decreased mortality in adults and in malnourished children. NTZ is not effective without an appropriate immune response. In AIDS patients, combination therapy restoring immunity along with antimicrobial treatment of Cryptosporidium infection is necessary. Recent investigations focused on the potential of molecular-based immunotherapy against this parasite. Others tested the effects of probiotic bacteria, but were unable to demonstrate eradication of C. parvum. New synthetic isoflavone derivatives demonstrated excellent activity against C. parvum in vitro and in a gerbil model of infection. Newly synthesized nitroor non nitro-thiazolide compounds, derived from NTZ, have been recently shown to be at least as effective as NTZ against C. parvum in vitro development and are promising new therapeutic agents.

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mentioning

confidence: 99%

Drug treatment and novel drug target againstCryptosporidium

Gargala

2008

Parasite

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“…However, in the absence of major outbreaks during the period evaluated, our data were inconclusive. Surveillance of laboratory test orders (i.e., ova and parasite procedure orders) would be useful as an early warning of a water-supply contamination crises, such as that experienced by Milwaukee in 1993 when cryptosporidium contaminated the city water supply and caused >403,000 illnesses ( 16 ). …”

Section: Discussionmentioning

confidence: 99%

Multijurisdictional Approach to Biosurveillance, Kansas City

Hoffman

Wilkinson

Bush

et al. 2003

Emerg. Infect. Dis.

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An electronic reporting system for a network of 22 laboratories was implemented in Kansas City, Missouri, with an independent organization acting as a data clearinghouse between the reporting laboratories and public health departments. The system ran in tandem with conventional reporting methods. Laboratory test orders and results were aggregated and mapped to a common nomenclature. Reports were delivered through a secure Internet connection to the Kansas City Health Department (KCHD); during the first 200 days of operation, 359 qualified results were delivered electronically to KCHD. Data were received more quickly than they were with conventional reporting methods: notification of chlamydia cases arrived 2 days earlier, invasive group A streptococcal disease cases arrived 2.3 days sooner, and salmonellosis cases arrived 2.7 days sooner. Data were more complete for all demographic fields, including address, age, sex, race, and date of birth. Two hundred fourteen cases reported electronically were not received by conventional means.

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“…Ainsi, l'épidémie à Cryptosporidium qui a affecté près du tiers de la population de la ville de Milwaukee aux États-Unis, est maintenant passée dans l'histoire comme la plus grande épidémie d'origine hydrique recensée. Au mois de mars 1993, plus de 400 000 personnes étaient affectées de malaises gastrointestinaux dans cette ville suite à ce que l'on croit maintenant être une défaillance du traitement de filtration et de désinfection en présence d'une eau fortement turbide (MACKENZIE, 1994). Les stratégies de contrôle ne semblent donc pas avoir été à la hauteur et en particulier l'absence des classiques indicateurs de contamination fécale dans l'eau traitée montre bien leur incapacité à pré-voir ta présence d'agents infectieux en émergence tels les parasites.…”

Section: Maladies Infectieuses D'origine Hydrique : Le Problèmeunclassified

Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé

Payment¹,

Hartemann²

2005

rseau

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La transmission des maladies par la voie hydrique est sous contrôle dans la majorité des pays industrialisés. Malgré tout des maladies épidémiques ou endémiques sont encore observées. Plusieurs microorganismes sont en émergence, et Cryptosporidium a été impliqué dans des épidémies importantes dans plusieurs pays. Le conrôle de ces maladies transmissibles par la voie hydrique requiert des autorités des nouvelles approches qui allient le contrôle des risques de cancer dûs aux sous-produits de la désinfection au contrôle des micro-organismes les plus résistants . Aux Etats-Unis, l'objectif proposé est l'absence de microorganismes dans l'eau potable. Cet objectif ne peut être contrôlé par les indicateurs usuels et l'on recommande donc un niveau de traitement équivalent. Le traitement est alors contrôlé en temps réel par des moyens physico-chimiques tels la turbidité ou la mesure des particules, et un contrôle a posteriori par de nouveaux indicateurs telles les spores des bactéries sporulantes aérobies. Le vieillissement des installations, des populations immunocompromises et une urbanisation grandissante sont autant de causes de l'émergence de nouvelles maladies infectieuses dont certaines transmissibles par la voie hydrique. La proportion des maladies gastro-intestinales qui est attribuable à l'eau de consommation est encore très grande et elle contribue à maintenir ces infections en circulation dans la population. Le dilemme du contrôle des risques de cancer dus aux sous-produits de la désinfection ne doit pas conduire à une réduction de l'efficacité des traitements, car le niveau de risque à partir duquel ont été fixées les concentrations maximales admissibles de ces sous-produits dans l'eau (10-6 cas de cancer par vie entière d'exposition) est bien plus faible que celui de contracter une maladie infectieuse d'origine hydrique en absence de traitement adéquat. La situation en matière de pathologies induites par la consommation d'eau est extrêmement contrastée selon les pays. En effet la transmission de maladies infectieuses par la voie hydrique a été maîtrisée dans la plupart des pays industrialisés par la mise en place d'installations de traitement et d'un contrôle sanitaire s'appuyant sur une réglementation abondante. A l'opposé la situation des pays en voie de développement reste souvent très mauvaise dans ce domaine et l'Organisation Mondiale de Santé estime que 1,5 milliards d'habitants ne disposent pas encore d'eau potable dont cent millions en Europe et que 30 000 morts journalières sont dues à l'absence d'une eau en quantité et qualité satisfaisantes (Ford et Colwell 1996). En revanche les pays développés voient la qualité chimique des eaux distribuées de plus en plus souvent mise en cause par les associations de consommateurs. Outre le progrès très rapide des techniques analytiques qui permet de découvrir la présence de traces dont on ne soupçonnait guère la présence dans l'eau du robinet, la pollution croissante de la ressource, les traitements de désinfection et le contact avec les matériaux des réseaux de distribution apportent des molécules dont la toxicité à moyen et long terme mérite d'être évaluée. La mise en oeuvre de traitements de désinfection dont l'utilité est indiscutable et l'effet sur la morbidité et la mortalité par pathologie infectieuse chez des populations desservies parfaitement significatif, s'accompagne de la formation de sous-produits. Certains de ceux-ci étant cancérigènes et/ou mutagènes en expérimentation de laboratoire et des études épidémiologiques ayant pu montrer une légère augmentation du risque de cancer dans la population, l'impact médiatique de cette information peut conduire à une mauvaise appréciation dans la gestion des risques pour la santé. Ainsi l'arrêt de la chloration pour éviter la formation de sous produits et quelques cas de cancers aurait conduit un pays d'Amérique du Sud a enregistrer une importante épidémie de choléra et des centaines de décès. Il n'est pas facile de gérer ce paradoxe entre sophistication du traitement lié à la pollution de la ressource entraînant la présence de sous produits de désinfection et la persistance d'éléments traces et de divers microorganismes dans une eau de qualité conforme aux critères de potabilité mais que le consommateur ne veut plus consommer. Dans cet article nous tenterons de faire le point sur le risque hydrique pour la santé lié d'une part aux contaminants biologiques et d'autre part aux contaminants chimiques. Sa meilleure connaissance est la clef d'une stratégie de gestion efficace et d'une reconquête du consommateur que la publicité a trop tendance à orienter vers les eaux embouteillées.

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A Massive Outbreak in Milwaukee of Cryptosporidium Infection Transmitted through the Public Water Supply

Abstract: This massive outbreak of watery diarrhea was caused by cryptosporidium oocysts that passed through the filtration system of one of the city's water-treatment plants. Water-quality standards and the testing of patients for cryptosporidium were not adequate to detect this outbreak.

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Drug treatment and novel drug target againstCryptosporidium

Drug treatment and novel drug target againstCryptosporidium

Multijurisdictional Approach to Biosurveillance, Kansas City

Les contaminants de l'eau et leurs effets sur la santé

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