The application of radiocarbon dating to determine the geochronology of archaeological sites is ubiquitous across the African continent. Accelerator mass spectrometry has made radiocarbon dating the most precise method to determine the death of living organisms that occurred within the last 50,000 years. However, the method is not without limitations and this review article provides Africanist archaeologists with cautionary insights as to when, where, and how to utilize radiocarbon dates. Specifically, the review will concentrate on the potential of carbon reservoirs and recycled organic remains to inflate apparent age estimates, diagenesis of carbon isotopes in variable pH ecologies, and hot-humid climates and non-climate-controlled archives that can compromise the efficacy of samples. Legacy radiocarbon ages must be critically examined for what method was used to generate the age, and calibration radiocarbon ages from critical periods of African prehistory lack precision to resolve significant debates. A multipronged dating strategy and careful selection of radiocarbon sample materials are advocated from the earliest stages of research design.Résumé L'application de la datation par le carbone 14 pour déterminer la géochronologie des sites archéologiques est. omniprésente à travers le continent africain. La spectrométrie de masse a rendu la datation par le carbone 14 la méthode la plus précise pour déter-miner la mort d'organismes vivants ayant eux lieux au cours des 50,000 dernières années. Cependant, la méthode n'est. pas sans limites. Cette revue fournit les archéologues africanistes avec des appréciations et des mises en garde sur l'utilisation des âges radiocarbone. Plus précisément, cette revue se concentrera sur la possibilité que les estimations d'âge apparentes soient exagérées par la présence de réservoirs de carbone et de restes organiques recyclées, sur la diagenèse d'isotopes de carbone dans les écologies de pH variables, et sur les climats chauds et humides ainsi que les archives sans température contrôlée qui peuvent compromettre l'efficacité des échantillons. Les âges radiocarbone basés sur des données anciennes doivent être rigoureusement examinés pour en déduire la méthode employée dans la détermination d'âge. Egalement, les âges radiocarbone de calibration, issue de périodes critiques de la préhistoire africaine, manque la précision nécessaire pour résoudre des débats importants. Une stratégie de datation multiple et une sélection rigoureuse des matériaux d'échantillons de radiocarbone sont conseillées dès les premières étapes de la conception de la recherche.