Stories of the nation unite and divide: those who are perceived as or who perceive themselves as authorized to speak from those who are not; those who belong ‘within’ from those who are consigned to the outside. By examining affective responses to a planned artistic appropriation of a historically significant site for Afrikaner separatists in post‐apartheid South Africa, this paper explores the process of relating the ‘nation’ to stories of the past and resulting contestations to this process. Significantly, it considers the implications of dis‐owned histories on its possessors and their relationship to ‘nation’.
Résumé
Les histoires de la nation unissent et divisent à la fois : elles séparent ceux qui sont perçus ou se perçoivent comme autorisés à parler de ceux qui ne le sont pas, et ceux qui « font partie » de ceux qui sont relégués à l’extérieur. En examinant les réponses affectives à un projet d’appropriation artistique d’un site historiquement important pour les séparatistes afrikaners dans l’Afrique du Sud post‐apartheid, l’auteure explore le processus de liaison de la « nation » aux histoires du passé et les contestations qui enrésultent. Elle examine notamment les implications des histoires dont ils sont dépossédés et leur relation avec la « nation ».