Tree growth rate is frequently used to estimate mortality probability. Yet, growth metrics can vary in form, and the justification for using one over another is rarely clear. We tested whether a growth index (GI) that scales the realized diameter growth rate against the potential diameter growth rate (PDGR) would give better estimates of mortality probability than other measures. We also tested whether PDGR, being a function of tree size, might better correlate with the baseline mortality probability than direct measurements of size such as diameter or basal area. Using a long-term dataset from the Sierra Nevada, California, U.S.A., as well as existing species-specific estimates of PDGR, we developed growth-mortality models for four common species. For three of the four species, models that included GI, PDGR, or a combination of GI and PDGR were substantially better than models without them. For the fourth species, the models including GI and PDGR performed roughly as well as a model that included only the diameter growth rate. Our results suggest that using PDGR can improve our ability to estimate tree survival probability. However, in the absence of PDGR estimates, the diameter growth rate was the best empirical predictor of mortality, in contrast to assumptions often made in the literature.Résumé : Le taux de croissance des arbres est fréquemment utilisé pour estimer la probabilité de mortalité. Cependant, les mesures de croissance peuvent prendre des formes variées et la justification pour utiliser l'une plutôt que l'autre est rarement claire. Nous avons vérifié si un indice de croissance (IC) qui met en rapport le taux de croissance en diamètre réalisé et le taux de croissance en diamètre potentiel (ICDP) donnerait de meilleures estimations de la probabilité de mortalité que d'autres mesures. Nous avons également testé si l'ICDP, qui est fonction de la taille de l'arbre, pourrait être mieux corrélé avec une probabilité de mortalité de référence que des mesures directes de la taille, comme le diamètre ou la surface terrière. À l'aide d'un ensemble de données à long terme provenant de la Sierra Nevada en Californie, aux États-Unis, ainsi qu'avec des estimations existantes de l'ICDP, spécifiques aux espèces, nous avons développé des modèles de croissance et de mortalité pour quatre espèces communes. Pour trois des quatre espèces, les modèles qui incluaient l'IC, l'ICDP, ou une combinaison de l'IC et de l'ICDP étaient nettement meilleurs que les modèles n'incluant pas ces variables. Pour la quatrième espèce, le modèle comprenant l'IC et l'ICDP s'est comporté à peu près aussi bien qu'un modèle utilisant le taux de croissance en diamètre. Nos résultats indiquent que l'utilisation de la croissance potentielle peut améliorer notre capacité à estimer la probabilité de survie des arbres. Toutefois, en l'absence d'estimations de la croissance potentielle, le taux de croissance en diamètre est le meilleur prédicteur empirique de mortalité, contrairement aux hypothèses souvent mentionnées dans la littérature. [Traduit pa...