“…Pour simplifier, négligeons dans cette dernière les petites corrections proportionnelles à la constante de couplage effective g . Alorsω (0) q est racine dē z → M (0) ++ (z,q), sans nul besoin de prolongement analytique (contrairement au cas à température non nulle, où la ligne de coupure sur l'équation aux énergies propres atteint l'énergie nulle, et où l'on trouve jusqu'à quatre branches acoustiques complexes [22,23]). Par résolution numérique, nous traçons la branche acoustique sur la Figure 2c : après un départ linéaire en le nombre d'onde réduit, elle sature rapidement (plus rapidement qu'une loi de puissance) à la valeur réduite 2, c'est-à-dire à l'énergie 2∆ du bord inférieur du continuum de paire brisée.…”