Assessment of Uranium Tetrafluoride Dissolution in the Lung by In Vivo and In Vitro Methods

Mieux connaître le devenir biologique des futurs matériaux nucléaires, une nécessité pour maintenir un bon niveau de radioprotection

“…Certes on peut faire quelques prévisions mais l'expérience a montré, maintes fois, que si la prévision est nécessaire, la vérification expérimentale est incontournable. On a de multiple exemples avec le tributylphophate de plutonium (Métivier et al, 1983, le tétrafluorure d'uranium (André et al, 1989a(André et al, , 1989b, différents alliages du béryllium (André et al, 1987) et différents oxydes de plutonium (Mewhinney et al, 1976 ;Métivier, 1979 ;Bair et al, 1989Bair et al, , 1980Morgan et al, 1988 ;Sato et al, 1999). Il convient donc d'envisager de nouvelles recherches expérimentales en radiotoxicologie.…”

“…Pour l'uranium, par exemple, la technique expérimentale est plus importante que le choix du milieu de dissolution. Ainsi l'étude in vitro de la solubilité de UF 4 a montré que l'utilisation d'un fluide de référence ne permet pas à lui seul de décrire la solubilité in vivo de ce composé (André et al, 1989a(André et al, , 1989b.…”

“…Des fluorures d'actinides pourraient se former et le retraitement in situ pour enlever les produits de fission ou récupérer l'uranium passerait par la formation de fluorures gazeux. À cet égard, on rappelle le comportement biologique particulier de UF 4 qui, classé insoluble par les chimistes est très rapidement solubilisé au niveau pulmonaire (André et al, 1989a(André et al, , 1989b. Les informations disponibles pour PuF 4 sont contradictoires : Dilley (1970) décrit un comportement biologique après inhalation proche du nitrate de plutonium mais la même équipe le décrit comme se comportant comme un composé peu soluble similaire à l'oxyde 239 PuO 2 , réfractaire au traitement par le DTPA (Mc Donald et al, 1979).…”

ANNEX B: Deposition, characterisation, and sampling of radioactive aerosols

“…Intracellular particle dissolution in AM may well be the rate-determining step in absorption of material from particles that do not dissolve within a few hours, and there is growing interest in the use of in vitro cultures of AM to study particle dissolution (e.g. Lundborg et al, 1984;Andre´et al, 1989a). Dissolution rates of compounds of beryllium, cobalt, and manganese were found to be greater in AM cultures than in a lung fluid simulant such as the culture medium (Lundborg et al, 1985;Andre´et al, 1987;Kreyling et al, 1990).…”

“…(C93) This sensitivity of dissolution rates to conditions and the complexity of conditions in the respiratory tract makes it difficult to simulate respiratory tract dissolution in vitro. The problem is well illustrated by recent studies on uranium tetrafluoride (Stradling et al, 1985a;Andre´et al, 1989a;Ansoborlo et al, 1990). A wide range of dissolution rates had been reported previously, due partly to differences in in vitro technique and partly to differences in the method of production of the material.…”