“…En effet, si, comme on l'a vu, les institutions découlent du sacrifice et du rite qui en est la répétition (Hocart, 2005), alors la désacralisation correspond à la perte de légitimité et d'efficacité de ce qui com-pose le sacré, à savoir: les mythes, les rites (notamment sacrificiels), les interdits et les obligations (droits coutumiers du sol), les systèmes de différences (hiérarchies), le rapport au temps, etc. La désacralisation implique une perte de la peur du châtiment divin (ex.…”