Barriers to and facilitators of research utilization among Finnish Registered Nurses

Abstract

1. The aim of nursing research is to produce a sound foundation for evidence-based nursing; the job of nurses is to make the best possible use of that foundation and apply the knowledge produced to the practice of nursing. 2. The purpose of this study was to identify and describe barriers to and facilitators of research utilization from the point of view of Finnish Registered Nurses. 3. The BARRIERS Scale was administered to 316 nurses in two major hospitals; 253 nurses returned the questionnaire, giving a response rate of 80%. The structured data were processed with SPSS 9.0, and the unstructured data were interpreted using the method of content analysis. 4. The main barriers to research utilization identified by the respondents were: the fact that most research is published in a foreign language; that physicians will not co-operate with implementation; and that statistical analyses are difficult to understand. The facilitators mentioned most often were nurses' positive attitudes and abilities. Other important facilitators included the support and activity of a ward sister as well as encouragement, a favourable attitude and collaboration on the part of all staff members. 5. The findings are discussed in relation to the Finnish healthcare context and nurse education, and evidence-based nursing practice.

Exploring Attitudes and Barriers Toward the Use of Evidence-Based Nursing among Nurse Managers in Taiwanese Residential Aged Care Facilities

“…This result concurs with those from the literature which suggest many nurses do not understand research reports because of the use of specific, mainly academic research terms (McGarvey, 1993); the difficulty encountered with interpreting the results of research studies (Lacey, 1994); the inability to understand statistical analysis (Kuuppelomaki & Tuomi 2003;McCaughan et al, 2002;Veeramah, 2004) and the difficulty in understanding English (Oranta et al, 2002).…”

Vers une utilisation de données probantes en oncologie: problèmes rencontrés et solutions suggérées

“…Les études effectuées sur les barrières à l'utilisation des données probantes affirment qu'un soutien entre collègues puis un temps réservé à la lecture et à l'implantation des pratiques exemplaires sont cruciaux. De ce fait, l'utilisation des résultats probants dans la pratique nécessite un encadrement et un processus d'accompagnement soutenu pour parvenir aux objectifs souhaités (HalabisNassif & Hatem, 2008;McCormack & Slater, 2006;Oranta, Routasalo & Hupli, 2002).…”

“…Selon une étude effectuée en 2002 par Oranta, Routasalo et Hupli, les principaux obstacles à l'utilisation de la recherche identifiés par les répondants étaient le fait que la plupart des recherches sont publiées dans une langue étrangère (ici notamment en anglais), que les médecins ne coopèrent pas à la mise en oeuvre d'actions concrètes et que les analyses statistiques sont difficiles à comprendre (Oranta et al, 2002). De plus, les cliniciens n'ont pas le temps de développer les habiletés de trouver, de regrouper et d'analyser de façon rigoureuse les résultats de recherches récents et probants et n'ont pas reçu la formation nécessaire à la compréhension et à la critique d'articles de recherches ou de guides de pratiques cliniques (Glacken & Chaney, 2004;Halabis-Nassif & Hatem, 2008;Hannes et al, 2007;McCormack & Slater, 2006;O'Donnell, 2003).…”

“…Ces dernières sont directement plus habilitées à trouver et à utiliser les données des recherches récentes. On retrouve une plus grande réceptivité et une utilisation de résultats de recherche chez les infirmières détenant un baccalauréat ou une maîtrise que chez celles ayant une formation en techniques infirmières (Bonner & Sando, 2008;Halabis-Nassif & Hatem, 2008;Koehn & Lehman, 2008 ;Oranta et al, 2002 …”

“…Bref, le mentor joue un rôle clé dans le transfert des apprentissages cliniques vers la pratique quotidienne (McCormack & Slater, 2006). La bonne attitude de l'infirmière mentor est un facteur essentiel pour établir et conserver un climat de confiance (Oranta et al, 2002). Par ailleurs, les infirmières mentors peuvent habiliter les infirmières à engendrer des changements qui améliorent les soins aux patients.…”