Patterns in community composition across a landscape are the result of mechanistic responses and species interactions. Interactions between hosts and parasites have additional complexity because of the contingency of host presence and interactions among parasites. To assess the role of environmental changes within host and parasite communities, we surveyed small mammals and their fleas over a dynamic elevational gradient in the Front Range in Colorado, USA. Communities were characterized using several richness and diversity metrics and these were compared using a suite of frequentist and randomization approaches. We found that flea species richness was related to the number of host species based upon rarefaction, but no patterns in richness with elevation were evident. Values of diversity measures increased with elevation, representing that small-mammal and flea communities were more even upslope, yet turnover in composition was not related to examined variables. The results suggest there are strong local effects that drive these small-mammal and flea communities, although the breadth of flea species is tied to host availability.Key words: Siphonaptera, fleas, Rodentia, small mammals, species richness, host-parasite relationships.Résumé : La répartition de la composition des communautés sur l'ensemble d'un paysage est le résultat de réactions mécanistes et d'interactions entre espèces. Les interactions d'hôtes et de parasites revêtent une complexité supplémentaire en raison de l'impondérabilité de la présence des hôtes, ainsi que des interactions de parasites. Afin d'évaluer le rôle des changements du milieu au sein de communautés d'hôtes et de parasites, nous avons étudié des petits mammifères et leurs puces sur un gradient altitudinal dynamique dans la chaîne frontale des Rocheuses, au Colorado, É.-U. Les communautés ont été caractérisées à l'aide de plusieurs paramètres de richesse et de diversité, qui ont été comparés en utilisant un ensemble d'approches fréquentistes et de randomisation. Nous avons constaté que la richesse spécifique des puces était reliée au nombre d'espèces d'hôtes reposant sur la raréfaction, mais aucune tendance de la richesse en fonction de l'altitude n'est ressortie. Les valeurs de mesures de la diversité augmentaient avec l'altitude, indiquant que les communautés de petits mammifères et de puces étaient plus équitables vers le haut, même si le renouvellement de la composition n'était pas relié aux variables examinées. Les résultats donnent à penser que de forts effets locaux contrôlent ces communautés de petits mammifères et de puces, bien que la diversité des espèces de puces soit associée à la disponibilité des hôtes. [Traduit par la Rédaction]