Canadian Survey of Critical Care Pharmacists' Views and Involvement in Clinical Research

Abstract

Canadian critical care pharmacists are involved to varying degrees in clinical research and are very interested in initiating and supporting research activities. Opportunities are present but significant barriers exist. The value of pharmacist-initiated research needs recognition as a priority within hospital pharmacy administration.

Today’s Research Is Tomorrow’s Practice: Promoting a Culture of Research

“…How many faculty positions are there in the areas of access to continuing education programs, the opportunity to participate in development and testing of clinical tools, access to a variety of tools once a research project is completed, knowledge gained from the results of the study, and lastly but most importantly, benefits for patients. However, these same studies identified the lack of dedicated time for research participation as the most significant and consistent barrier to research, [5][6][7] irrespective of individual respondents' interest in research. Although lack of dedicated time may be a true limitation (depending on the extent of data collection required for a given research project), Cvijovic and others, 7 through semistructured interviews, identified lack of time as a socially acceptable limitation that was masking fears associated with the challenges of modifying work routines.…”

“…5,6 When questioned as to whether they would join a research network, survey respondents overwhelmingly answered "yes", because of the potential benefits to be gained by joining such a group. 5,6 These benefits include direct…”

Les recherches d’aujourd’hui sont les pratiques de demain : promouvoir une culture de la recherche

“…Mais des études par sondage ont montré que les pharmaciens d'hôpitaux et les pharmaciens communautaires du Canada voient la recherche d'un bon oeil 5,6 . Lorsqu'on leur demandait s'ils seraient prêts à rejoindre un réseau de recherche, les répondants ont presque tous dit « oui » à cause des avantages potentiels qu'ils peuvent en tirer 5,6 .…”

“…Mais des études par sondage ont montré que les pharmaciens d'hôpitaux et les pharmaciens communautaires du Canada voient la recherche d'un bon oeil 5,6 . Lorsqu'on leur demandait s'ils seraient prêts à rejoindre un réseau de recherche, les répondants ont presque tous dit « oui » à cause des avantages potentiels qu'ils peuvent en tirer 5,6 . Parmi ces avantages, on compte : l'accès direct à des programmes de formation continue, l'occasion de participer à l'élaboration et à l'évaluation d'outils cliniques, l'accès à différents outils lorsqu'un projet de recherche est terminé, les connaissances acquises à la faveur des résultats de l'étude et, finalement, les avantages pour les patients qui sont sûrement les plus considérables.…”

“…Parmi ces avantages, on compte : l'accès direct à des programmes de formation continue, l'occasion de participer à l'élaboration et à l'évaluation d'outils cliniques, l'accès à différents outils lorsqu'un projet de recherche est terminé, les connaissances acquises à la faveur des résultats de l'étude et, finalement, les avantages pour les patients qui sont sûrement les plus considérables. Par contre, ces mêmes études ont relevé que le manque de temps réservé à la recherche représente l'obstacle le plus important et le plus fréquent à la participation des répondants aux projets de recherche [5][6][7] , et ce, peu importe leur intérêt à l'égard de la recherche. Même si l'insuffisance de temps alloué semble constituer une réelle contrainte (selon la quantité de données qu'il est nécessaire de recueillir pour un projet de recherche donné), Cvijovic et collab.…”