“…Elles se présentent sous forme de roches « couverture » sur la partie sus-jacente de couches aquifères plus poreuses et plus perméables, par exemple, dans le cas de réservoirs naturels ou anthropiques d'hydrocarbures (pétrole, gaz), de CO 2 ou d'eau (réservoir souterrain de gaz en formation aquifère, par exemple). En France et en Europe, différentes formations géologiques sont étudiées dans le contexte du stockage de déchets radioactifs : les argilites du Callovo-Oxfordien, appelée aussi argilites de Bure (Meuse/ Haute-Marne, France) (Gasc-Barbier et al, 2004 ;Robinet et al, 2012 ;Wang et al, 2015 ;Desbois et al, 2017 ;Stavropoulou et al, 2018), les argilites de Tournemire du Toarcien (Aveyron, France) (Bonin, 1998 ;Cabrera et al, 2001 ;Hédan et al, 2012Hédan et al, , 2014Tsang et al, 2012 ;Cosenza et al, 2016 ;Fauchille et al, 2016 ;Bonnelye et al, 2017aBonnelye et al, , 2017b, les argilites à Opalines de Mont Terri en Suisse (Thury, 2002 ;Nussbaum et al, 2011 ;Bossart et al, 2002Bossart et al, , 2018, etc. D'autres formations, non définies comme des argilites comme l'argile de Boom (Belgique), sont aussi étudiées dans ce contexte.…”