“…Ainsi, les effets inhérents à une capture par pêche à la ligne ou à la cuiller (e.g., FERGUSON et TUFTS, 1992 ;YOUNGSON et WEBB, 1993 ;PANKHURST et DEDUAL, 1994 ;YOUNG et al, 1994 ;KIEFFER et al, 1995 ;BROBBEL et al, 1996 ;DEDUAL, 1996 ;LOWE et WELLS, 1996 ;WILKIE et al, 1996 ;POTTINGER, 1998), par plongeur sous-marin (e.g., BOLLARD et al, 1993), nasse (e.g., HOPKINS et CECH, 1992), senne (e.g., LEATHERLAND et al, 1989), chalut (e.g., TU RUN EN et ai., 1994OLLA et al, 1997), tramail (e.g., EGGINTON, 1994CHOPIN et al, 1996) ou pêche électrique (e.g., MESA et SCHRECK, 1989 ;MAULE et MESA, 1994 ;MITTON et MCDONALD, 1994 ;SNYDER, 1995 ;BARTON et GROSH, 1996 ;BARTON et DWYER, 1997 ;MUTH et RUPPERT, 1997) ont-ils été appréciés et quantifiés chez de nombreuses espèces pisciaires par des mesures d'indicateurs classiques de l'état de stress (i.e., catecholamines, Cortisol, glucose, lactate ;WEDEMEYER et al, 1990). L'utilisation de filets maillants, engins de pêche passifs, a été préconisée par l' EIFAC (1975) et citée par BARBIER (1985) pour certaines investigations dans les lacs, réservoirs et milieux potamiques.…”