“…Ce puissant signal de prolifération agit de concert avec l'action de cytokines ou de ligands qui stimulent la sécrétion d'anti- [14,15]. En outre, l'existence des B1 chez l'homme, du moins selon la définition proposée, est de plus en plus controversée puisque la caractérisation de ces cellules B1 présumées révèle en réalité un phé-notype préplasmablastique correspondant à un stade précoce de la différenciation plasmocytaire [16]. Il est cependant intéressant de noter que les cellules B spéci-fiques de la phosphorycholine (PC) se trouvent de façon prédominante, quoique non exclusive, parmi les cellules IgM + IgD + CD27 + [17].…”