Objective: Antidepressants (ADs) are the mainstay of treatment for major depressive disorder (MDD). Despite their widespread usage, a consensus does not exist as to the timing of clinically significant symptomatic improvement during an AD trial. The objective of this review is to provide practitioners with empirically based recommendations pertaining to the optimal duration of index (initial) AD therapy before a clinical intervention is warranted.
Methods:We conducted a nonsystematic review, using a combination of a MeSH key word search, Google Scholar, and the Scopus database. Our search strategy focused on research papers reporting on the early symptomatic response to AD therapy.Results: Available evidence suggests that there are several subpopulations that exist within whole-group data assigned to an AD treatment. Among the responder subgroups, an early responder group (that is, less than 3 weeks) and later responder group (that is, 3 weeks or more) are identified. People who exhibit early partial symptomatic improvement are more likely to respond to therapy thereafter. However, the interpretability of extant evidence is complicated by the use of disparate statistical approaches with differing computational complexity and sample heterogeneity.
Conclusions:Response outcomes in MDD are heterogeneous. Available data suggest that people may respond early, late, and (or) continuously over time, and may represent distinct subpopulations that provide a proximate indication for treatment response outcomes. Notwithstanding, a pragmatic recommendation would be to consider a treatment intervention (for example, dosage optimization and [or] augmentation) if, after 3 to 4 weeks, symptomatic improvement is insufficient.
W W WObjectif : Les antidépresseurs (AD) sont le soutien principal du traitement du trouble dépressif majeur (TDM). Malgré leur usage répandu, il n'y a pas de consensus sur la chronologie de l'amélioration symptomatique cliniquement significative durant un essai d'AD. L'objectif de cette étude est de fournir aux médecins des recommandations éclairées par les preuves empiriques concernant la durée optimale d'un premier traitement (initial) par AD avant qu'une intervention clinique soit justifiée.Méthodes : Nous avons mené une revue non systématique, à l'aide d'une combinaison de recherche par mot clé dans MeSH, Google Scholar, et Scopus Database. Notre stratégie de recherche portait sur les articles de recherche traitant de la réponse symptomatique précoce au traitement par AD.Résultats : Les données probantes disponibles suggèrent qu'il existe plusieurs souspopulations au sein des données de groupes entiers associées à un traitement par AD. Parmi les sous-groupes de répondants, un groupe de répondants précoces (c'est-à-dire, moins de 3 semaines) et un groupe de répondants tardifs (c'est-à-dire, 3 semaines ou plus) sont identifiés. Les personnes qui affichent une amélioration symptomatique partielle précoce sont plus susceptibles de répondre au traitement par la suite. Cependant, l'interprétabilité des donné...