“…(2013), le statut marital, la scolarité, le nombre d’enfants vivant au domicile, le statut d’emploi, le fait de vivre ou non dans un milieu urbain, être propriétaire ou locataire pouvaient influencer la perception de son équilibre de vie. Par ailleurs, plusieurs études font état de relations entre l’équilibre occupationnel et la santé, le bien-être ou la qualité de vie chez différents groupes de personnes, dont des personnes issues de la population générale sans problème de santé incapacitant (Anaby et al, 2010; Larivière et al, 2016; Matuska, 2012b; Wagman et al, 2017), des travailleurs ou des professionnels de la santé (Håkansson et Ahlborg, 2010), des parents (Håkansson et al, 2019; Wada et al, 2010), des personnes vivant avec un trouble de santé mentale (Bejerholm, 2010; Larivière et al, 2016; Leufstadius et al, 2006; Ung et al, 2018), des personnes vivant avec la polyarthrite rhumatoïde (Forhan et Backman, 2010; Wagman et al, 2020), des personnes présentant une obésité ou un autre problème de santé limitant leur degré d’activité physique (Levasseur et Larivière, 2015; Matuska et Bass, 2016), ainsi que les personnes ayant subi un accident vasculaire cérébral (Kassberg et al, 2021).…”