Conversion of hydrolysates of corn cobs and hulls into ethanol by recombinantEscherichia coli B containing integrated genes for ethanol production

Beall, D. S.; Ingram, L. O.; Ben‐Bassat, Arie; Doran, Joy B.; Fowler, David E.; Hall, RJ; Wood, B. E.

doi:10.1007/bf01029153

Cited by 75 publications

(33 citation statements)

References 13 publications

Supporting

Mentioning

Contrasting

Unclassified

Order By: Relevance

“…The alcohol dehydrogenase gene also makes the host ethanol tolerant. The genetically engineered K. oxytoca P2 strain has been shown to ferment monosaccharides and oligosaccharides including cellobiose and cellotriose from lignocellulose hydrolysates to ethanol (Lawford and Rousseau, 1991;Barbosa et al, 1992;Beall et al, 1992;Wood and Ingram 1992).…”

Section: Research and Development Activities On Lignocellulosic Ethanmentioning

confidence: 99%

Advanced biofuel technologies : status and barriers

Cheng¹,

Timilsina²

2010

Policy Research Working Papers

View full text Add to dashboard Cite

Section: Research and Development Activities On Lignocellulosic Ethanmentioning

confidence: 99%

Advanced biofuel technologies : status and barriers

Cheng¹,

Timilsina²

2010

Policy Research Working Papers

View full text Add to dashboard Cite

“…pombe sont capables de croître à 41°C [212]. D'après Beall et al [213], Kluyveromyces marxianus et Kluyveromyces fragilis seraient les meilleures souches pour produire de l'éthanol à température élevée. Ballesteros et al [198] ont testé 27 souches appartenant aux genres Candida, Saccharomyces et Kluyveromyces pour leur capacité à fermenter le glucose à des températures comprises entre 32°C et 45°C.…”

Section: Saccharification Et Fermentation Simultanées (Sfs)unclassified

Production d'éthanol a partir de biomasse lignocellulosique

Ogier¹,

Leygue²,

Ballerini

et al. 1999

Oil & Gas Science and Technology - Rev. IFP

View full text Add to dashboard Cite

Résumé -Cette étude fait le point des connaissances scientifiques et techniques dans le domaine de la production alcoolique à partir de susbstrats lignocellulosiques. Ce travail, réalisé dans le cadre d'Agrice (Agriculture pour la chimie et l'énergie), est une synthèse bibliographique qui a cherché à identifier les avancées capables de débloquer certains verrous technologiques et économiques liés à ce type de procédé. La biomasse lignocellulosique est un substrat complexe, constitué des trois principales fractions que sont la cellulose, les hémicelluloses et la lignine. Le procédé de production d'éthanol consiste à récupérer par hydrolyse le maximum de sucres issus à la fois des fractions cellulosiques et hémicellulosiques, puis de fermenter ces sucres en éthanol. Les premiers procédés d'hydrolyse utilisés étaient surtout chimiques, mais ils sont peu compétitifs à l'heure actuelle, en raison notamment du coût des réactifs et de la formation de nombreux sousproduits et de composés inhibiteurs rendant les hydrolysats peu fermentescibles. Ils sont désormais concurrencés par les procédés enzymatiques, plus spécifiques et qui permettent de meilleurs rendements d'hydrolyse dans des conditions moins sévères. Cependant, la biomasse lignocellulosique n'est pas directement accessible aux enzymes, et elle doit subir au préalable une phase de prétraitement dont l'objectif est d'améliorer la susceptibilité à l'hydrolyse enzymatique de la cellulose et éventuellement d'hydrolyser la fraction hémicellulosique en sucres monomères. Parmi les nombreuses méthodes de prétraitement qui ont été étudiées, nous en avons identifié trois répondant au mieux aux objectifs précédemment cités : le prétraitement à l'acide dilué, l'explosion à la vapeur avec utilisation d'un catalyseur, et la thermohydrolyse. Ces trois méthodes permettraient d'atteindre des rendements d'hydrolyse enzymatique de la cellulose proches de 100 %, tout en permettant un taux d'hydrolyse des hémicelluloses supérieur à 80 %, et en minimisant la formation de composés de dégradation. L'hydrolyse enzymatique doit encore être améliorée afin de réduire le coût lié à la consommation d'enzymes. Les principales voies de recherche devraient porter sur l'amélioration de l'activité des cellulases, afin de se rapprocher le plus possible de celles d'enzymes telles que les amylases. Le développement du procédé SFS (saccharification et fermentation simultanées) permet d'améliorer l'efficacité des enzymes en minimisant les réac-tions d'inhibition des enzymes par les produits formés. Son inconvénient est lié aux différences entre les tempé-ratures optimales de l'hydrolyse enzymatique et de la fermentation. La recherche de micro-organismes conservant de bonnes performances fermentaires à température élevée doit donc se poursuivre. Un autre verrou technologique du procédé concerne la fermentation alcoolique des pentoses, qui peuvent représenter jusqu'à 25 à 40 % des sucres totaux contenus dans la biomasse lignocellulosique. C'est pourquoi il est indispensable de les valoriser en éthanol. ...

show abstract

“…Equation (7) is detailed as Considering the points (10, 0.085) and (20, 0.32) for (α 1 , γ 1 ) and (α 2 , γ 2 ) respectively, and substituting them into Equation (8), gives the slope as 0.0235 (m 3 ·kg −1 VS) days −1 which is the methane gas yield per unit HRT during the actual experimental process. Also similar plot (as in Figure 2) using model-predicted results gives a slope.…”

Section: Computational Analysismentioning

confidence: 99%

“…The need to diversify sources of energy for industrial growth has resulted to the use of various raw materials like sugarcane juice and molasses [3,4] sugar beet, beet molasses [4,5], Sweet sorghum [6] and starchy materials like sweet potato [7], Corn cobs and hulls [8,9], cellulosic materials like cocoa, pineapples and sugarcane waste [10] and milk, cheese, and whey using lactose hydrolyzing fermenting strains [11] for ethanol production.…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Model for Assessment Evaluation of Methane Gas Yield Based on Hydraulic Retention Time during Fruit Wastes Biodigestion

Nwoye¹,

Ferdinand²,

Agatha³

et al. 2012

JMMCE

View full text Add to dashboard Cite

This paper presents an assessment evaluation of methane gas yield using a derived model based on the hydraulic retention time (HRT) of the feed stock (waste fruits) undergoing biotreatment in the digester. The derived model; γ = e (3.5436 α + 2.0259) indicates an exponential relationship between methane yield and the HRT. Statistical analysis of the model-predicted and experimental gas methane yield for each value of HRT considered shows a standard error of 0.0081 and 0.0114% respectively. Furthermore, the correlation between methane yield and HRT as obtained from derived model and experimental results were evaluated as 0.9716 and 0.9709 respectively. Methane gas yield per unit HRT as obtained from derived model and experiment are 0.0196 and 0.0235 (m 3 ·kg −1 VS) days −1 respectively. Deviational analysis indicates that the maximum deviation of the model-predicted methane yield from the corresponding experimental value is less than 16%. It was also found that the validity of the model is rooted on the expression 0.2822 ln γ = α + 0.5717 where both sides of the expression are correspondingly approximately equal.

show abstract

Conversion of hydrolysates of corn cobs and hulls into ethanol by recombinantEscherichia coli B containing integrated genes for ethanol production

Cited by 75 publications

References 13 publications

Advanced biofuel technologies : status and barriers

Advanced biofuel technologies : status and barriers

Production d'éthanol a partir de biomasse lignocellulosique

Model for Assessment Evaluation of Methane Gas Yield Based on Hydraulic Retention Time during Fruit Wastes Biodigestion

Contact Info

Product

Resources

About