“…La place et l'intérêt de cette épreuve au sein de l'arsenal des tests évaluant les fonctions exécutives cognitives nécessiteront des travaux futurs. En effet les épreuves disponibles sont bien standardisées et normalisées ; elles explorent les processus exécutifs perturbés par les principales pathologies cérébrales avec des fréquences de déficits qui permettent même la mise en place de batteries abrégées pour les maladies d'Alzheimer [7], de Parkinson [8], les accidents vasculaires cérébraux [9], les tumeurs cérébrales [10] et les traumatismes crâniens sévères [11] ; surtout elles alimentent les critères diagnostiques du syndrome dysexécutif qui constitue un facteur indépendant des difficultés dans les activités de vie quotidiennes [12] montrant ainsi leur validité écologique.…”