“…Une autre étude a été entreprise pour tester les effluents toxiques du Rhin sur l'anguille (SPAZIER et al, 1992), qui a révélé l'existence de lésions cellulaires de la rate traduisant des anomalies de phagocytose et une diminution de la défense immunitaire cellulaire. Certaines affections telles que la nécrose printanière de l'anguille («spring ulcer disease»), sous la forme de nécroses et hémorragies tégumentaires, ont été rapportées à des pollutions multifactorielles (JENSEN et al, 1983 ;DALSGAARD, 1987) (Fleuve Ems, en 1985: KOOPS et HARTMANN, 1987TARASCHEWSKI etal., 1987), Pays-Bas (juillet 1985 : VAN BANNING et al, 1985), Belgique (décembre 1985: BELPAIRE et al, 1987et 1989a, Danemark (1986: KOIE, 1988b, Suède (1988: HOGLUND et ANDERSSON, 1993, Hongrie (septembre 1990: SZEKELY etal., 1991), Grande Bretagne (fin 1987: KENNEDY et FITCH, 1990, Italie (CAN ESTRIN l-TROTTI, 1987), Espagne (avril 1987: BELPAIRE etal., 1989b Ce ver hématophage se localise, à l'état adulte, dans la vessie gazeuse, les larves L 3 se développant dans la paroi de cet organe.…”