“…Elle est corroborée par le mutant p53 E177R qui empêche la tumorigenèse spontanée, grâce à sa capacité à réduire la glycolyse et le stress oxydant, et (faiblement) un type de tumorigenèse induite, par sa capacité intacte à déclencher la sénescence [38]. Elle explique l'importance de l'apoptose vis-à-vis de la tumorigenèse tardive [13,38,43,46] (Figure 3) : le temps finit sans doute non seulement par reproduire les situations créées artificiellement par les modèles de tumorigenèse induite, mais aussi par révéler les limites, voire les effets pervers, de la sénescence pour la suppression tumorale [3]. Elle impliquerait que, chez les plexus choroïde de souris transgéniques, de l'antigène T du virus SV40, qui complexe et inactive p53, conduit au rapide développement de tumeurs.…”