“…Il existe des lignes directrices qui donnent des indications claires sur leur usage en fin de vie (APS, 1996(APS, -2005. Bien que la possibilité d'une dépression des centres respiratoires représente un risque minime, sinon inexistant, quand les narcotiques sont prescrits de manière adéquate (Fohr, 1998 ;Boisvert, 1987 ;Twycross, 1982), persiste encore chez les professionnels de la santé la crainte de hâter la mort en les utilisant (Way, Back et Curtis, 2002 ;Fohr, 1998). En fait, les risques d'une dépression des centres respiratoires sont peu élevés parce que s'installe une tolérance de l'organisme aux opioïdes, ce qui a causé un autre problème d'éthique aux praticiens qui craignaient d'induire une toxicomanie par le biais du traitement.…”