Human disturbance at wolf dens and rendezvous sites (homesites) may have direct effects on pup survival and could result in the alteration of homesite-use characteristics. During a demographic study of eastern wolves (Canis lycaon) in Algonquin Provincial Park, Ontario, we entered active homesites to tag pups with VHF radio transmitters. Homesite attendance and pup survival data collected in 2003-2005 were used to determine (i) the immediate response of wolves to disturbance at homesites, (ii) whether distance moved between homesites was influenced by disturbance, (iii) if pup survival was compromised by researcher disturbance, and (iv) whether reuse in subsequent years differed between disturbed and undisturbed den sites. Packs tended to relocate pups after a disturbance, though we did not detect a difference in distances travelled between natural homesite shifts and those following disturbance. Disturbed homesites were reused in following years at a similar frequency as undisturbed homesites (6 of 15 vs. 8 of 22 homesites, respectively). Although postcapture mortality risk was slightly elevated for pups, we could not detect long-term effects of disturbance. This resilience to disturbance, and our documentation of effective techniques for radio-tagging young pups, demonstrate that research on wolf pup demography can be performed effectively without causing unacceptable negative impacts on wolf behaviour or mortality.Résumé : La perturbation par les humains des terriers et des lieux de rencontre (de résidence) des loups peut avoir des effets directs sur la survie des louveteaux et peut entraîner une altération des caractéristiques d'utilisation de ces lieux de résidence. Au cours d'une étude démographique des loups de l'est (Canis lycaon) au parc provincial Algonquin en Ontario, nous avons pénétré dans des lieux de résidence occupés par les loups afin de munir des louveteaux de transmetteurs radio VHF. Les données sur l'utilisation des lieux de résidence et sur la survie des louveteaux récoltées en 2003-2005 nous ont servi (i) à déterminer la réaction immédiate des loups à la perturbation de leurs lieux de résidence, (ii) à connaître l'influence de la perturbation sur la distance de déménagement entre les lieux de résidence, (iii) à savoir si la perturbation causée par les chercheurs compromet la survie des louveteaux et (iv) à découvrir si l'utilisation répétée du site durant les années subséquentes différait entre les sites des terriers perturbés et non perturbés. Après une perturbation, les meutes ont tendance à déplacer les louveteaux, bien que nous soyons incapables de détecter une différence dans les distances parcourues lors de changements naturels de lieu de résidence et les déplacements consécutifs à une perturbation. Les lieux de rési-dence perturbés sont réutilisés les années subséquentes à une même fréquence que les sites non perturbés (respectivement 6 de 15 sites et 8 de 22 sites). Bien que le risque de mortalité après la capture soit légèrement accru chez les louveteaux, nous ne décelons aucun effe...