A new species of pelecinid wasp, Eopelecinus marechali sp. nov., is described and figured from mid-Cretaceous Burmese amber based on a single well-preserved female specimen. Contrary to Eopelecinus inopinatus Jouault et al., 2020a, unique other Eopelecinus known from this deposit, the new species is based on a complete female specimen. This discovery confirms that the Pelecinidae were highly diverse during the Cretaceous and highlights the underestimated diversity of the genus Eopelecinus in Burmese amber biota. Eopelecinus marechali sp. nov. differs from all other Eopelecinus species by its unique metasomal ratio. A summary on the fossil pelecinid species with distributions and ages is provided. Based on the particular geological history of the West Burmese Terrane and the fossil record of the family, the hypothesis of an Asian origin of the family is discussed.The records of Eopelecinus in both Laurasia and Burmese amber biota, during the mid-Cretaceous, suggest that possible transfers of fauna have taken place between these two geological blocks.Une nouvelle espèce de guêpe pélécinide, Eopelecinus marechali sp. nov., est décrite et figurée à partir de l'ambre birman du Crétacé moyen sur la base d'un seul spécimen femelle bien conservé.
Contrairement à Eopelecinus inopinatusJouault et al., 2020a, l'unique autre Eopelecinus connu de ce gisement, la nouvelle espèce est basée sur un spécimen femelle complet. Cette découverte confirme que les Pelecinidae étaient très diversifiés durant le Crétacé et met en évidence la diversité sous-estimée du genre Eopelecinus dans le biote de l'ambre birman. Eopelecinus marechali sp. nov. diffère de toutes les autres espèces d'Eopelecinus par son ratio métasomal unique. Un résumé des espèces de pélécinides fossiles avec leur répartitions et leur âges est fourni. Sur la base de l'histoire géologique particulière du terrane birman occidental et du registre fossile de la famille, l'hypothèse d'une origine asiatique de la famille est discutée. Les enregistrements d'Eopelecinus en Laurasia et dans l'ambre de Birmanie, au Crétacé moyen, suggèrent que des transferts de faunes aient pu avoir lieu entre ces deux paléo-continents.