“…Comparés à quelques alliages classiques, base nickel ou cobalt, ils leur opposent des valeurs de limites d'élasticité et de résistances à la rupture supérieures à températures élevées [2]. Enfin, l'apport récent de la métallurgie des poudres, grâce entre autres aux procédés de solidification rapide, de mécanosynthèse (mechanical alloying) et de densification (filage à chaud, pressage isostatique à chaud), permet d'améliorer les performances mécaniques de ces mêmes alliages, de pallier les difficultés de mise en forme d'autres, tel le WC-3009 (Nb -30W -9Hf), d'envisager aussi l'élaboration de nouveaux, qui associeraient des métaux à points de fusion très différents [2][3][4][5][6]. Par contre, ces alliages ont tous l'inconvénient d'une grande réactivité chimique ; de la même façon que le métal pur, ils s'oxydent rapidement dès 500 à 600 °C.…”