“…Il y a alors un risque majeur de tension appliquée sur les sutures et par la suite, de déhiscence ainsi que de compromission des mécanismes respiratoires, ceux-ci reposant majoritairement sur le diaphragme et non sur la musculature abdominale et intercostale [1,2]. Différentes options de réparation existent comprenant des prélèvements autogènes tels que des lambeaux musculaires (muscle abdominal transverse, muscle droit de l'abdomen), l'omentum, les fascias (fascia lata), le péricarde [1,6,12] ainsi que des prothèses exogènes telles que la sous-muqueuse d'intestin grêle de porc, le polypropylène et les polyépoxydes [1,[7][8][9][10].…”