le plasma, mais n'augmentait pas la largeur de l'6piphyse ulnaire distale. Les vertbbres et les c6tes de b0tes trait6es d la rpST jusqu'au poids vif de 100,3 kg avaient une plus forte teneur en eau (P < 0,01) et, une moindre teneur (P < 0,05) en cendres de I'os (m.s.) et une moindre densit6 de la m.s. (P < 0,01) et des cendres (P < 0,001) que chez les porcs t6moins.L'arr0t des injections de rpST au poids de 63 kg supprimait les effets de la rpST sur les propri6t6s des os, sauf la densit6 des cendres. Par rapport aux animaux t6moins, I'administration ininterrompue de rpST jusqu'au poids vif de 100,3 kg produisait des notations plus 61ev6es (P < 0,05) pour la fr6quence des l6sions des condyles hum6raux et abaissait les concentrations moyennes d'acide uronique (P < 0,05) et d'hydroxyproline (P < 0,05) dans le cartilage des condyles distaux de I'hum6rus et du f6mur, mais n'avait pas d'effet significatif sur le rapport acide uronique/hydroxyproline. L'arr€t des traitements d la rpST d 63 kg r6duisait I'effet de la rpST sur I'int6grit6 des cartilages, de m6me que sur les concentrations en acide uronique et en hydroxyproline des cartilages articulaires. L'emploi prolong6 de rpST abaissait le m6tabolisme chondrocytaire, ce qui peut indirectement r6duire la r6sistance )r la compression et la tension des cartilages et accroitre leur sensibilit6 aux stress m6caniques et, par voie de cons6quence, )r I'ost6ochondrose.