“…Pour ce faire, les receveuses ovarioprives reçoivent une thérapeutique hormonale de substitution estrogénopro-gestéronique adaptée, sur un mode séquentiel, avec introduction de la progestérone le lendemain soir du déclenche-ment de la donneuse si l'endomètre, la zone jonctionnelle et la vascularisation utérines sont adéquats. Pour les femmes ayant encore des ovaires fonctionnels, un cycle maî-trisé est institué par analogue de la GnRH et opothérapie substitutive selon les mêmes modalités que pour les femmes ovarioprives [15].…”