Few studies have systematically examined edge effects on nest predators, although many invoke these processes as potential mechanisms for decreased nesting success of songbirds. Species richness and relative abundance of avian and mammalian nest predators were compared between forest edge and interior in two landscapes, Allegan State Game Area and Fort Custer Training Center (FCTC), in southwest Michigan. One avian predator, the American crow (Corvus brachyrhynchos Brehm, 1822), was more abundant at edges than forest interior at FCTC; however, other predators did not demonstrate an edge response. Abundance of the brood parasite (Molothrus ater (Boddaert, 1783)) was greater at edges in FCTC. Overall abundance was higher at FCTC in both years; however, this could not be attributed to a greater extent of fragmentation. Total species richness for both landscapes did not differ between edge and interior. Remote-camera systems captured three predation events, two involving red squirrels (Tamiasciurus hudsonicus (Erxleben, 1777)) and one involving a blue jay (Cyanocitta cristata (L., 1758)). Vegetation characteristics were similar between edge and interior sites, which suggests that vegetation structure did not influence edge response. The variability in response indicates a need to assess patterns of predator distributions through long-term studies at multiple spatial scales.Résumé : Peu d'études ont examiné systématiquement les effets de lisière sur les prédateurs des nids, bien que plusieurs travaux évoquent ces processus comme mécanismes potentiels pour expliquer le déclin du succès de la nidification chez les oiseaux chanteurs. La richesse spécifique et l'abondance relative des oiseaux et des mammifères prédateurs de nids ont été comparées dans les lisières et les zones intérieures de deux paysages, Allegan State Game Area et Fort Custer Training Center (FCTC) sans le sud-ouest du Michigan. Un oiseau prédateur, la corneille d'Amérique (Corvus brachyrhynchos Brehm, 1822), est plus abondant dans les lisières qu'à l'intérieur, mais les autres prédateurs ne montrent pas d'effet de lisière. L'abondance du parasite des nids (Molothrus ater (Boddaert, 1783)) est plus grande dans les lisières à FCTC. L'abondance générale était supérieure à FCTC durant les deux années, mais elle ne s'explique pas par une plus grande fragmentation du paysage. La richesse spécifique totale dans les deux paysages ne diffère pas dans les lisières et dans l'intérieur. Des caméras à distance ont enregistré trois épisodes de prédation, deux impliquant des écureuils roux (Tamiasciurus hudsonicus (Erxleben, 1777)) et un troisième un geai bleu (Cyanocitta cristata (L., 1758)). Les caractéristiques de la végétation sont les mêmes dans les sites de la lisière et de l'intérieur, ce qui laisse croire que la végétation n'influence pas les effets de lisière. La variabilité de la réaction indique qu'il sera nécessaire d'évaluer les patterns de répartition des prédateurs dans des études à long terme à multiples échelles spatiales.[Traduit par la Rédaction] S...