Effet de la densite sur les parametres dendrometriques D'&lt;i&gt;Acacia auriculaeformis&lt;/i&gt; en association avec le cocotier (&lt;i&gt;Cocos nucifera&lt;/i&gt; L.) sur sables quaternaires en C&amp;#244te d'Ivoire

Lekadou, T. T.; N'Guessan, AK; Konan, JL; Zakra, N.; Yao-Kouamé, Albert; Allou, Kouassi

doi:10.4314/aga.v21i1.46210

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“…Sur ces sols, les producteurs plantaient les rejets dans des décharges (36,1%), proche de leur lieu d'habitation (20,7%), dans des basfonds (19,5%) et très peu dans les jeunes cocoteraies (1,8%). Les sols sableux du littoral ivoirien en particulier sont très pauvres en éléments minéraux (Lékadou et al, 2009 ;Kouakou et al, 2019) et sont dotés de grandes capacité de ressuyage accentuant l'assèchement après une pluie. Les paysans auraient de ce fait recours sur ces sols à des endroits très humides, regorgeant de matière minérale et/ou organique à tout moment, dont des décharges, les bas-fonds et autour de la maison.…”

Section: Coûtunclassified

État des lieux des bananeraies (Musa sp.) en zone de culture du cocotier, sur le littoral en Côte d’Ivoire : cas de la station Marc DELORME et des villages aux alentours

Koffi¹,

Agoh²,

Yao³

et al. 2022

Int. J. Bio. Chem. Sci

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Cette étude avait pour objectif de mieux connaître la problématique liée à la production du plantain à la Station Marc DELORME et les localités aux alentours. Pour ce faire, une enquête impliquant 130 répondants a été effectuée. Les résultats ont révélé que la production de plantain sur le littoral est plus réalisée par des hommes (63,8). La tranche d’âge la plus active en ce qui concerne cette culture est celle de plus de 50 ans (45,5%). La variété la plus rencontrée dans les plantations était la variété CORNE (74,3%). La culture du plantain est faite en association (66,2%) ou en monoculture (33,8%). Au total, 62,3% des producteurs n’appliquent pas d’engrais, 77,7% ne pratiquent pas d’irrigation et 88,5% n’utilisent pas de pesticide au cours de la culture. Les bananes plantains récoltées sont plus destinées à la consommation domestique (53,8%) qu’à la vente. En période d’abondance, les coûts fluctuent entre 500 F à 3000 F CFA le régime. Par contre, En période de pénurie, les coûts des régimes varient entre 1000 et 4000 F CFA. La culture du plantain peut être envisagée en association avec le cocotier vu son importance au sein des ménages. English title: Status of banana plantations (Musa sp.) in coconut cultivation areas on the coast of Côte d'Ivoire: case of the Marc DELORME station and surrounding villages The aim of this study is to better understand the problems related to plantain production at the Marc DELORME Station and the surrounding localities. To this end, a survey involving 130 respondents was conducted. The results revealed that plantain production is carried out more by men (63.8%). The most active age group with regard to this crop is the over 50s (45.5%). The variety most frequently found in the plantations was the CORNE variety (74.3%). Plantain is grown in association (66.2%) or as a monoculture (33.8%). In total, 62.3% of producers do not apply fertilizers, 77.7% do not use irrigation and 88.5% do not use pesticides during cultivation. The plantains harvested are more destined for domestic consumption (53.8%) than for sale. In periods of abundance, costs fluctuate between 500 F and 3000 F CFA per bunch. On the other hand, in periods of shortage, the costs of the bunch vary between 1000 and 4000 F CFA. The cultivation of plantain can be considered in association with the coconut tree given its importance in households.

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Section: Coûtunclassified

État des lieux des bananeraies (Musa sp.) en zone de culture du cocotier, sur le littoral en Côte d’Ivoire : cas de la station Marc DELORME et des villages aux alentours

Koffi¹,

Agoh²,

Yao³

et al. 2022

Int. J. Bio. Chem. Sci

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Improved crop productivity and soil properties under varying planting densities of Pentaclethra macrophylla Benth. and Acacia auriculiformis A. Cunn. in Congo Basin

Mapenzi,

Katayi,

Bauters

et al. 2023

Agroforest Syst

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Soil fertility depletion is a major constraint to agricultural production in the Congo Basin and is aggravated by climate change. Therefore, agroforestry systems (AFS) are used to improve soil fertility and crop productivity. Indeed, Pentaclethra macrophylla and Acacia auriculiformis are among the most agroforestry species used in this basin. However, smallholders are limited in their choice of agroforestry species and the spacing. Hence, this study comparatively evaluated the effects of P. macrophylla (native) and A. auriculiformis (exotic) legume tree species on soil macronutrients and food crops’ yield during four cropping seasons. To do this, a multifactor trial design was implemented in Lobilo catchment, Congo Basin, with two tree species, four tree planting densities (T1: 2500 trees × ha−1, T2: 625 trees × ha−1, T3: 278 trees × ha−1; and T0: crop monoculture), and three intercrops (cassava, maize, and peanut). The results revealed that both agroforestry species did not significantly differ regarding their impact on soil macronutrients. The total nitrogen and the pH in soil have increased with the cropping seasons. With regard to the food crops, cassava and maize yield were greater under P. macrophylla than under A. auriculiformis. However, the 2500 trees × ha−1 density negatively affected food crops’ yield and did not allow food crop production after the second cropping season. To maximize the positive effects of these AFS, it is essential to plant or co-plant these two agroforestry species at 625 trees × ha−1 density. Future research could investigate other native species and include water and light interactions.

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Analyse de deux itinéraires sylvicoles de Pericopsis elata (Harms) Meeuwen (Fabaceae) dans la réserve forestière de la Kienké-Sud (Cameroun)

Ambara¹,

Bobo²,

Ze³

2023

vertigo

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Pericopsis elata est une espèce héliophile à haute valeur commerciale inscrite à l’annexe II de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Des expérimentations sylvicoles de cette espèce avaient été initiées par le Centre technique forestier tropical (CTFT) en 1972 et 1975 dans la réserve de la Kienké-Sud (Cameroun) dans le cadre d’un programme de recherche sur la sylviculture par plantation de cette espèce. Deux plantations avaient alors été installées par la méthode de recrû avec des écartements de 3 m × 3 m et 3 m × 4 m. L’objectif de ce travail est d’évaluer sur la base de quatre paramètres structuraux, l’espacement le plus adapté à la sylviculture en plantation de Pericopsis elata suivant la méthode de recrû. Un inventaire exhaustif à 100% a été réalisé dans chaque plantation. Au cours de celui-ci les diamètres et les hauteurs ont été prélevés. Les paramètres structuraux et dendrométriques de chaque plantation ont été analysés. L’espacement initial influence la structure des plantations en affectant la morphologie des tiges et leurs performances en termes de croissance en diamètre. En outre, un espacement trop réduit favorise les inégalités de croissance augmentant ainsi la compétition asymétrique. Ainsi, l’espacement 3 m × 4 m serait le mieux adapté à la sylviculture de Pericopsis elata en plantation suivant la méthode de recrû.

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Effet de la densite sur les parametres dendrometriques D'<i>Acacia auriculaeformis</i> en association avec le cocotier (<i>Cocos nucifera</i> L.) sur sables quaternaires en C&#244te d'Ivoire

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État des lieux des bananeraies (Musa sp.) en zone de culture du cocotier, sur le littoral en Côte d’Ivoire : cas de la station Marc DELORME et des villages aux alentours

État des lieux des bananeraies (Musa sp.) en zone de culture du cocotier, sur le littoral en Côte d’Ivoire : cas de la station Marc DELORME et des villages aux alentours

Improved crop productivity and soil properties under varying planting densities of Pentaclethra macrophylla Benth. and Acacia auriculiformis A. Cunn. in Congo Basin

Analyse de deux itinéraires sylvicoles de Pericopsis elata (Harms) Meeuwen (Fabaceae) dans la réserve forestière de la Kienké-Sud (Cameroun)

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