Background. Examining craft-based occupations is necessary to explicate the relationship between occupation and well-being. Purpose. This study aimed to understand the role of knitting in the lives of passionate knitters and their experience of how knitting contributes to health, well-being, and occupational identity. Method. Principles of phenomenology guided interviews with 21 knitting-guild members (with and without health conditions) and observations at seven guild meetings as well as guided the data analysis. Eight interviewees and 24 additional guild members confirmed key findings in writing. Findings. Five main themes capture how knitting (a) "makes me happy," (b) is "the mental challenge I need," (c) is "a hobby that joins" through social connections and skill development, (d) sustains identity such that "I can't imagine life without knitting," and (e) is a creative outlet "reflecting my personality." Implications. This in-depth description of how knitters experience their craft in daily life bolsters the philosophical assumption that favoured occupations have the power to promote health and well-being. Abré gé Description. Il est primordial d'examiner les activités artisanales pour expliquer la relation entre l'occupation et le bien-être. But. Cette étude visait à mieux comprendre le rôle du tricot dans la vie de tricoteurs passionnés et la façon dont le tricot, selon leur expérience, contribue à leur santé, leur bien-être et leur identité occupationnelle. Mé thodologie. Les principes de la phénoménologie ont orienté les entretiens effectués auprès de 21 membres (avec ou sans problèmes de santé) d'une guilde de tricot et les observations faites dans le cadre de sept rencontres de la guilde, de même que l'analyse des données. D'autres membres de la guilde ont confirmé par écrit les principaux résultats. Résultats. Cinq thèmes principaux permettent de décrire l'expérience des tricoteurs: le tricot (a) « me rend heureux », (b) est « le défi mental dont j'ai besoin », (c) est un « passe-temps qui combine « les liens sociaux et l'acquisition d'habiletés », (d) affirme l'identité, de telle sorte que « je ne peux pas imaginer ma vie sans le tricot », et (e) est un débouché créatif qui « reflète ma personnalité ». Consé quences. Cette description en profondeur de l'expérience vécue au quotidien par les tricoteurs face à leur activité artisanale appuie la supposition philosophique selon laquelle les occupations favorites ont le pouvoir de promouvoir la santé et le bien-être.