Empeoramiento por el uso de estatinas de una miopatía por déficit de carnitina palmitoil transferasa

Delgado-Lopez, F.; Bautista-Lorite, Juan; F, Villamil-Fernández

doi:10.33588/rn.3811.2004106

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“…In the context of either a persistently elevated CK or an abnormal neurologic exam consideration should be given to a growing list of neuromuscular disorders attributed to statin therapy. 58,94,[115][116][117][118][119][120][121][122][123][124][125][126][127][128][129] Included in this list are the idiopathic inflammatory myopathies [i.e., overlap myositis (personal observation), polymyositis, 125 dermatomyositis, 123,[126][127][128] and inclusion body myositis 124 ], myasthenia gravis, 117,118 mitochondrial myopathy, 58,94,130 McArdle disease, 121,122,130 acid maltase deficiency, 129 carnitine-palmitoyl transferase deficiency, 120 rippling muscle disease (RMD), 115 malignant hyperthermia (MH), 116,119 myotonic dystrophy type 1 (DM1), 130 Kennedy disease, 130 and amyotrophic lateral sclerosis. 131 For genetically-based muscle disorders statins are believed to trigger myogenic symptoms more readily than in normal muscle.…”

Section: Elevated Ck Levelsmentioning

confidence: 99%

A Neuromuscular Approach to Statin-Related Myotoxicity

Baker

Samjoo

2008

Can. j. neurol. sci.

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RÉSUMÉ: Approche neuromusculaire de la myotoxicité due aux statines. Près de 95% des patients qui reçoivent une statine tolèrent bien ce traitement hypocholestérolémiant, sans réactions indésirables. Cependant, les complications musculaires sont relativement fréquentes parce qu'un grand nombre de patients reçoivent ce traitement à cause de son efficacité pour abaisser le taux de lipoprotéines de faible densité et pour diminuer l'incidence d'événements cardiovasculaires. Comme on connaît mal leur pathophysiologie, il est difficile d'identifier les patients à risque de développer une myotoxicité sous statine. Il y a de plus en plus de cas ou de séries de cas rapportés qui impliquent les statines dans l'exacerbation de myopathies tant acquises que génétiques. Nous présentons un algorithme concernant la conduite à tenir le cas échéant, qui énumère différentes co-morbidités pouvant potentialiser les effets indésirables des statines sur le muscle. De plus, nous discutons d'une démarche rationnelle pour identifier les patients qui sont les plus susceptibles de bénéficier d'une biopsie musculaire. Les travaux en cours permettront de définir dans quelle mesure les patients qui sont intolérants aux statines sont porteurs de myopathies métaboliques récessives ou de myopathies acquises pré-symptomatiques. L'importance croissante de la pharmacogénomique jouera sans doute un rôle dans le domaine de la recherche sur la myopathie due aux statines dans les prochaines années. Cette information est d'une grande importance pour établir des stratégies de diagnostic et de traitement.

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