Les concentrations plasmatiques d'insuline augmentaient par rapport aux animaux t6moins d la suite d'injections de rpST ainsi que chez les truies ivec implant aprds les repas. Les concentrations de IGF-I dans le plasma augmentaient, d la fois chez les truies trait6es par injection el chez ies truies implant6es, avant les repas et aussi aprds I'injection. Les concentrations plasmatiques en acides gras non est6rifi6s ainsi qu'en cr6atine 6taient les mOmes dans les trois groupes. La concentration de N ur6ique diminuait aprds la distribution des aliments, la baisse 6tant plus prononc6e chez les truies trait6es par injection que dans les deux autres gioupes. Il n'y avait pas de diff6rences entre les groupes pour la s6cr6tion basale et 6pisodique de LH, pour lepoids de l'appareiî eproducteur,-pour le volume des follicules et pour les concentrations en estradiol-17B dans le plasma et dans le liquide folliculaire.Toutefois, les concentrations en IGF-I dans le liquide folliculaire 6taient plus importantes chez les truies trait6es ir la rpST que chez les cochettes t6moins. Les auteurs en concluent que I'administration de rpST i raison de 2 mg par jour pendant 28 jours agissait signihcativement sur I'axe ST-insuline-IGF-1, mais qu'elle n'influait pas sur la s6cr6tion de LH, ni sur le d6veloppement de t'appariit reproducteur. L'accroissement des concentrations de IGF-I sous I'effet de la pST pourrait avoir une signification physiologique pour le d6veloppement folliculaire.