“…Comme il ne s'agit pas d'une maladie à déclaration obligatoire en Suisse, il n'y a pas de données épidémiologiques précises. L'incidence semble toutefois en hausse dans les 30 dernières années (0,10 cas pour 100 000 personnes au cours de la période 1993-2000 vs. 0,26 cas pour 100 000 personnes sur la période 2001-2005) [3]. Ceci est à mettre en lien avec l'augmentation de la population des renards urbains infectés et la fréquence des diagnostics fortuits, à l' occasion d'une imagerie motivée par une problématique autre [4].…”