“…Les recherches antérieures sur les marais maritimes de l'estuaire et du golfe du Saint-Laurent font état d'une description des formations végétales (Prat, 1933 ;Couillard et Grondin, 1986), de la dynamique sédimentaire (Morin, 1981 ;Drapeau et Morin, 1981 ;Drapeau, 1992 ;Sérodes et Dubé, 1983 ;Sérodes et Troude, 1984 ;Troude et Sérodes, 1990 ;Dionne, 2002), de l'influence du temps de submersion de la végétation (Sérodes et al, 1985), des processus d'érosion des marais (Gauthier et Goudreau 1983 ;Dionne, 1986Dionne, , 2000Dionne, , 2001a, de l'influence des glaces littorales (Dionne, 1969(Dionne, , 1972a(Dionne, , 1984(Dionne, , 1985(Dionne, , 1989Troude et Sérodes, 1988), de la productivité primaire (Giroux et Bédard, 1987), du recyclage des contaminants par les marais (Deschênes et Sérodes, 1986) et de leur reconstitution historique et paléoécologique (Garneau, 1998 ;Hatvany, 2003). Peu d'études ont quantifié la diversité végétale des marais maritimes tout en établissant son lien entre la répartition et la variabilité spatiale des caractéristiques physiques du milieu.…”