Simulated wolf howling sessions are a popular ecotourism activity, but no exhaustive evaluation has been made on their potential impacts on wolf ecology. We evaluated the effects of simulated wolf howling sessions on the space use of gray wolves (Canis lupus L., 1758) in the Montmorency Forest (Quebec, Canada). Although we equipped 22 individuals with GPS collars from 2005 to 2008, only four wolves could potentially hear our 20 simulated howls (July to October 2008). We used power analyses to select two spatiotemporal scales of analysis with sufficient location data to investigate wolf reactions. We evaluated the distance and orientation of wolf movements relative to howling stations, their movement rates, and their mean distance to other collared pack members, which we used as an index of pack cohesion. We found that wolves approached howling stations (at both scales) and were closer to other pack members (at broad scale only) after simulated howls. The reactions of wolves were of relatively low magnitude, and we conclude that simulated howling sessions were unlikely to have strong negative impacts on the movement patterns of wolves. We encourage future studies to evaluate the effects of simulated howling on the activity levels and fine-scale space use by wolves.Key words: animal communication, Canis lupus, ecotourism, gray wolf, satellite telemetry.RĂ©sumĂ© : Bien que les sessions d'appels aux loups rĂ©alisĂ©es dans le cadre d'activitĂ©s Ă©cotouristiques soient populaires, aucune Ă©valuation exhaustive de leurs impacts sur l'Ă©cologie du loup n'a Ă©tĂ© faite Ă ce jour. Nous avons Ă©valuĂ© l'utilisation de l'espace du loup gris (Canis lupus L., 1758) en rĂ©ponse Ă des appels simulĂ©s dans la ForĂȘt Montmorency (QuĂ©bec, Canada). Bien que nous ayons muni 22 individus de colliers GPS entre 2005 et 2008, seulement quatre loups ont vraisemblablement pu entendre nos 20 appels simulĂ©s (juillet Ă octobre 2008). Nous avons utilisĂ© des analyses de puissance afin de cerner deux Ă©chelles spatiotemporelles d'analyse ayant suffisamment de localisations tĂ©lĂ©mĂ©triques pour Ă©valuer les rĂ©actions de ces loups. Nous avons ensuite mesurĂ© la distance et l'orientation des loups par rapport aux stations d'appel, leurs taux de dĂ©placement, ainsi que leur distance moyenne par rapport Ă d'autres membres de la meute, que nous avons utilisĂ© comme un indice de la cohĂ©sion de la meute. Nous avons observĂ© que les loups s'approchaient des stations d'appel (aux deux Ă©chelles) et Ă©taient plus prĂšs des autres membres de leur meute (Ă grande Ă©chelle seulement) Ă la suite d'un appel simulĂ©. Ces rĂ©actions Ă©taient toutefois de faible ampleur et nous concluons que nos appels simulĂ©s n'ont probablement pas eu d'impact nĂ©gatif sur les patrons de dĂ©placement des loups. Nous encourageons davantage d'Ă©tudes sur les effets des appels simulĂ©s sur les niveaux d'activitĂ© et l'utilisation de l'espace Ă fine Ă©chelle des loups.