“…Ces travaux montrent que la sédation profonde et continue jusqu'au décès d'un patient, n'est pas que souffrance pour la famille. Globalement satisfaits, les proches pensaient qu'elle a permis au malade de mourir de façon plus paisible et avec dignité [3,4,5,10,11]. Cependant des émotions sont apparues, dont découlent des besoins particuliers.…”