Feedback to first language learners: the role of repetitions and clarification questions

Demetras, M. J.; Post, Kathryn Nolan; Snow, Catherine E.

doi:10.1017/s0305000900008059

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“…She also cites studies showing that corrections from adults can actually improve children's grammars (e.g. Chouinard & Clark, 2003;Demetras et al, 1986;Saxton, 2000;Saxton et al 1998). …”

Section: The Poverty Of the Stimulusmentioning

confidence: 99%

The Place of Universal Grammar in the Study of Language and Mind: A Response to Dabrowska (2015)

Boxell¹

2016

Open Linguistics

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Generative Linguistics proposes that the human ability to produce and comprehend language is fundamentally underwritten by a uniquely linguistic innate system called Universal Grammar (UG). In her recent paper What is Universal Grammar, and has anyone seen it? Ewa Dabrowska reviews a range of evidence and argues against the idea of UG from a Cognitive Linguistics perspective. In the current paper, I take each of Dabrowska's arguments in turn and attempt to show why they are not well founded, either because of flaws in her argumentation or because of a careful consideration of the available empirical evidence. I also attempt to demonstrate how evidence from the fields Dabrowska reviews actually supports the notion of UG. However, arguments are additionally presented in favor of integrating an understanding of domain-specific UG with an understanding of domain-general cognitive capacities in order to understand the language faculty completely.

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“…She also cites studies showing that corrections from adults can actually improve children's grammars (e.g. Chouinard & Clark, 2003;Demetras et al, 1986;Saxton, 2000;Saxton et al 1998). …”

Section: The Poverty Of the Stimulusmentioning

confidence: 99%

The Place of Universal Grammar in the Study of Language and Mind: A Response to Dabrowska (2015)

Boxell¹

2016

Open Linguistics

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“…Mais cette « negative evidence », cet effet de contraste donné par le modèle en langue cible, n'est pas toujours produit de manière explicite et intentionnelle. Il est important de reconnaître la place des réparations implicites et des reformulations sans correction explicite qui permettent de ne pas interrompre le flot de la conversation (Forrester, 2008) et fournissent en même temps les formes cibles à l'enfant (Demetras et al, 1986 ;Hirsh-Pasek et al, 1984).…”

Section: Les « Réparations » Dans Les Interactions Adulte-enfantunclassified

« Ça s’appelle comment le docteur des animaux ? » Co-(re)construction des productions non standard de l’enfant

Pontonx

Masson

Morgenstern³

2014

SHS Web of Conferences

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Si les premiers gestes, les premiers mots de l'enfant sont du langage répliqué, emprunté, reproduit, il y a souvent des écarts et des déformations par rapport au langage adulte. L'enfant va devoir non seulement s'approprier des constructions langagières, les manipuler, et les investir pour devenir un sujet-énonciateur à part entière, mais également en maîtriser la forme et l'usage afin de reproduire au mieux la cible adulte proposée dans son environnement linguistique.Dans une étude des interactions mère-enfant chez une petite fille monolingue française entre 1 an 9 mois et 4 ans, notre équipe s'est penchée sur un phénomène interactionnel au croisement de l'appropriation du système linguistique et de son usage par l'enfant : le travail mère-enfant pour reformuler ou rectifier les formes et les usages non standard.Cette collaboration fine et constructive relève de deux niveaux. D'un point de vue interactionnel, la mère propose des rectifications à l'enfant, la sollicite également grâce à des procédés variés (demandes de clarification, de reformulation, rectifications directes ou indirectes…), afin qu'elle effectue elle-même ces rectifications. L'enfant, quant à elle, participe en reprenant les rectifications offertes par la mère, ou en rectifiant seule ses énoncés. D'un point de vue linguistique, les rectifications de la mère et de l'enfant mettent en jeu des niveaux linguistiques différents, adaptés à son développement langagier et à son âge. Des travaux récents sur le français montrent que la phonologie et le lexique sont des lieux privilégiés de travail sur la langue au plus jeune âge, suivis de la morphosyntaxe et de la pragmatique . L'analyse de ces séquences pourra montrer combien la mère joue un rôle clé dans l'acquisition du langage par l'enfant (Clark & Chouinard 2000). C'est dans cette collaboration étroite que se construisent les capacités à la fois linguistiques, interactionnelles et sociales de l'enfant. L'enfant peut ainsi s'approprier à la fois des outils linguistiques et un savoir faire -savoir être social, dialogique, dans la langue et la co-énonciation. Nos analyses nous amènent à repérer des processus qui pourraient faciliter la mise en place des compétences linguistiques et interactionnelles des enfants. Problématique et état de l'artComme le rappelle Veneziano (1997 : 91) « quand l'enfant participe à certains échanges conversationnels, leurs caractéristiques constituent l'une des sources pour l'acquisition de certains aspects du langage, du moins à certaines périodes du développement, et elles peuvent faire partie de ce que Bruner (1983) appelle le 'système de soutien pour l'acquisition du langage' ». C'est dans ses échanges avec les adultes qui l'entourent au quotidien que l'enfant a un accès direct à la langue adulte en contexte et en lien avec des activités diversifiées. Par ailleurs, c'est dans ses échanges quotidiens avec l'enfant que l'adulte apporte ses interprétations des productions verbales et du comportement du jeune enfant, influençant ainsi la façon dont il pourra internaliser ce...

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“…For example, in the 1980s, a number of researchers (e.g., Bohannon & Stanowicz, 1988;Demetras, Post, & Snow, 1986;Hirsh-Pasek, Treiman, & Schneiderman, 1984;Morgan & Travis, 1989) demonstrated that parents provide negative evidence. For instance, Hirsh-Pasek et al's study found that parents are more likely to repeat ill-formed utterances than those that are well-formed, and that these repetitions frequently include corrections.…”

Section: Mythmentioning

confidence: 99%

Three Myths from the Language Acquisition Literature

Schoneberger

2010

Analysis Verbal Behav

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Three popular assertions have hindered the promotion of an empiricist approach to language acquisition: (a) that Brown and Hanlon (1970) claimed to offer data that parents do not reinforce their children's grammaticality; (b) that Brown and Hanlon also claimed to offer data that parents do not provide negative evidence (i.e., corrective feedback) for ungrammaticality; and (c) that Gold (1967) claimed to offer a formal proof showing that, without negative evidence, a child cannot acquire a language solely from environmental input. In this paper I offer introductory comments on the nature-nurture distinction (including interactionism, and the nativists' claim to have found a gene for language). Next I debunk the three aforementioned assertions by arguing that the authors (Brown & Hanlon; Gold) never made the claims attributed to them; review evidence on the role of reinforcement and corrective feedback in language acquisition; and offer some concluding comments.

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Feedback to first language learners: the role of repetitions and clarification questions

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The Place of Universal Grammar in the Study of Language and Mind: A Response to Dabrowska (2015)

The Place of Universal Grammar in the Study of Language and Mind: A Response to Dabrowska (2015)

« Ça s’appelle comment le docteur des animaux ? » Co-(re)construction des productions non standard de l’enfant

Three Myths from the Language Acquisition Literature

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